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Chroniques en Immobilier


2008-12-10

Chute des ventes résidentielles à Montréal

Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007.

Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée.

C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin.

Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide.

«Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour.

Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisé contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face».

Toutefois, comme elle le souligne, le marché montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens.

Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la métropole québécoise.

Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.

(source: Olivier Bourque, La Presse)

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2008-12-10

Foyer sans cheminée

Les foyers au gel prennent doucement leur essor au Québec, offrant une option écologique à ceux qui n'ont pas de cheminée ou qui doivent condamner des installations non sécuritaires.

La compagnie américaine Gel Flame propose plusieurs modèles de foyers, avec manteau comme les vrais, et d'autres, plus petits, à poser sur un meuble. Les prix oscillent entre 159$ et 1299$. Le combustible, de l'alcool isopropylique épaissi, additionné de sel de mer pour produire un crépitement, brûle sans polluer et demande moins de manipulations que le foyer au bois ou celui à l'éthanol.

«Aux États-Unis, il rencontre les normes de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et de l'Agence de la santé et de la sécurité au travail (OSHA), affirme Liliana Zarlenga, de chez Gel Flame à Montréal. Au Canada, on est en processus pour obtenir l'Écologo.» Les foyers à manteau, portables et pesant moins de 100 livres, peuvent émettre 3000 BTUs pendant trois heures, de quoi garder une petite pièce au chaud. Salon de montre dans Montréal-Nord.

(source: Carole Thibaudeau, La Presse)

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2008-08-08

Les maisons montréalaises seraient surévaluées

Est-ce que le marché de l’immobilier montréalais aurait atteint son plafond? Le prix des maisons de la région métropolitaine est surévalué de plus de 10%, selon une étude de Merrill Lynch Canada, qui prévoit aussi une stagnation des prix au Canada.

Sans offrir de précisions sur la direction des prix dans chacun des marchés, l’étude laisse entendre que les marchés où la surévaluation est la plus aiguë sont ceux où le risque de baisse de prix est le plus grand.

La surévaluation à Montréal est bien moins forte que dans l’Ouest du pays, mais elle laisse tout de même la métropole au-dessus de la moyenne canadienne d’un peu moins de 10%, selon les données de Merrill Lynch.

Selon les auteurs David Wolf et Carolyn Kwan, «si un marché est surévalué, nous devrions voir une augmentation de l’offre relativement à la demande – plus de gens veulent vendre que de gens veulent acheter».

Mais que les propriétaires de tous les coins du pays se rassurent: Merrill Lynch ne prévoit pas d’effondrement de prix comme celui qu’ont vécu les Américains. «Le Canada n’a pas partagé les excès du crédit qui ont été la base des crises ailleurs», écrivent les deux économistes.

Même si, selon Merrill Lynch, Montréal serait plus susceptible de connaître une baisse de prix en raison de la surévaluation, ce n’est vraiment pas dans la boule de cristal des spécialistes interrogés par La Presse Affaires.

Selon le chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), Michel Beauséjour, la surévaluation est un phénomène qui «n’existe absolument pas à Montréal».

«La vraie valeur, c’est le prix négocié, explique M. Beauséjour. Et le prix de vente à Montréal continue à augmenter de 3 à 5%. C’est le test ultime.»

«Aux États-Unis, les maisons sont effectivement surévaluées et il y a une diminution du prix de vente de mois en mois», illustre Michel Beauséjour. Et on ne voit pas cela à Montréal.

«Pour évaluer le risque de baisse de prix, il faut regarder si la demande est encore au rendez-vous», dit Hélène Bégin, économiste principale chez Desjardins.

«Le marché s’essouffle un peu, mais on est loin d’être en surplus de maisons à vendre. Nous sommes encore à cinq vendeurs par acheteur, alors que l’équilibre est entre huit et 10.»

Il est vrai que le marché montréalais tend vers cet équilibre, et tant la CIGM que la Société canadienne d’hypothèque et de logement s’attendent à une baisse du nombre de transactions. Mais les deux organismes prévoient en même temps des hausses de prix d’autour de 4% pour 2008 et 2009.

«Peut-être que les prix sont légèrement surévalués, mais il n’y a aucun risque de baisse de prix à Montréal», soutient Hélène Bégin.

Jusqu’à maintenant, le marché québécois de l’immobilier neuf ou usagé fait bande à part par rapport aux autres provinces.

Mercredi, Statistique Canada annonçait que la valeur des permis de bâtir du secteur résidentiel avait reculé de 4,4% au Canada en juin. Par opposition, le Québec affiche une hausse de 3,8% et la métropole, un faible recul de 1,1%.

Et si le nombre de ventes de la première moitié de l’année a baissé de plus de 13% au Canada, selon l’Association canadienne de l’immeuble, la région de Montréal a connu une hausse globale de 1%.

Surévaluation extrême dans l’Ouest
Dans un marché canadien à son niveau le plus cher depuis 1991, les auteurs de l’étude de Merrill Lynch estiment que la plupart des grandes villes de l’ouest du pays, de même que Sudbury et Montréal, ont des marchés immobiliers surévalués d’au moins 10%. La surévaluation tourne autour de 50% à Saskatoon et Regina, et elle dépasse 30% à Victoria et Vancouver.

’est élevé, mais encore loin du score de 78% enregistré à Miami en 2006, un peu avant l’effondrement du marché américain.

Au Québec, on enregistre une surévaluation d’un peu moins de 5% dans la capitale, et une évaluation à peu près juste dans la région d’Ottawa-Hull.

Le modèle de Merrill Lynch pour l’évaluation des marchés est basé principalement sur le concept d’abordabilité et tient compte du prix des maisons, du revenu moyen et des conditions de prêts. La firme ajuste ses résultats en fonction des particularités de chaque marché.

(source: Hugo Fontaine, LaPresse)

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2008-08-08

La fin des hypothèques à la bonne franquette

Effet direct de la crise du crédit, les Canadiens doivent recommencer à épargner pour s’acheter une maison. Et bonne chance aux mauvais payeurs! Les prêteurs hypothécaires ont resserré leurs conditions de crédit.

«Même si ce n’est pas dramatique au Canada, l’accès au crédit est plus difficile», confirme Mathieu D’Anjou, économiste principal chez Desjardins.

Il est vrai que la Banque du Canada a été forcée de réduire son taux directeur à cause du ralentissement économique. Mais les emprunteurs n’en ont pas profité. Les taux hypothécaires sont aussi élevés que l’année dernière. Les primes de risque sur le marché obligataire, c’est-à-dire l’écart de taux entre un prêt totalement sécuritaire et un prêt plus risqué, se sont élargies. «Les coûts de financement des banques ont augmenté. Ça s’est répercuté partout, sur tous les prêts», explique M. D’Anjou.

À la mi-juillet, Ottawa a aussi serré la vis du marché hypothécaire, pour éviter un cauchemar comme aux États-Unis. Désormais, il faut une mise de fonds d’au moins 5% de la valeur de la maison pour obtenir une hypothèque assurée par le gouvernement (SCHL). Depuis 2006, il était possible d’acheter une maison 100% à crédit. En outre, les acheteurs doivent faire leur deuil des prêts amortis sur 40 ans, afin de réduire les mensualités au minimum. Ottawa a ramené la limite à 35 ans.

La plupart des banques se sont déjà adaptées, même si les mesures fédérales n’entrent en vigueur qu’en octobre.

«Ces produits commençaient à être très populaires auprès des premiers acheteurs», souligne Lorraine Trudeau, directrice du centre de prêts chez le courtier hypothécaire Multi-Prêts.

Avec l’augmentation du prix des maisons, il était plus difficile d’amasser une mise de fonds suffisante. Ceux qui n’avaient pas assez d’économies se disaient: «Pourquoi attendre trois ans? Pendant ce temps-là, les prix vont encore monter», ajoute Mme Trudeau.

Maintenant, les ménages devront patienter, épargner… et être plus raisonnables. Les banques deviennent plus frileuses face aux surendettés.

Pour déterminer la valeur maximale d’une hypothèque, les banques utilisent toutes le même ratio: l’endettement total de l’emprunteur (remboursement de toutes les dettes, versements hypothécaires, chauffage, taxes, assurances, etc.) ne doit pas excéder 40% de son revenu brut (avant impôt).

Certaines banques avaient étiré cette limite jusqu’à 44% pour les emprunteurs qui avaient un bon dossier de crédit. Elles font maintenant marche arrière. Mais ce sont surtout les mauvais payeurs qui frapperont un mur.

Plusieurs prêteurs alternatifs, comme GMAC, GE Money et Xceed, qui offraient des hypothèques à risque (subprimes), ont carrément fermé leurs portes au Québec.

Ceux qui restent en affaires sont devenus beaucoup plus sévères. Les programmes qui permettaient à des travailleurs autonomes d’obtenir une hypothèque sans fournir de preuve de revenu, sont en voie de disparition. Même chose pour ceux qui donnaient la chance de s’acheter une maison six mois à peine après avoir été libérés d’une faillite.

«Maintenant, il faut attendre au moins deux ans et rebâtir son crédit», dit Mme Trudeau.

L’univers du prêt de dernier recours a fondu.

(source: Stéphanie Grammond, LaPresse)

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2008-04-09

Montréal compte maintenant davantage de propriétaires que de locataires

Pour la première fois, il y a davantage de ménages propriétaires que de ménages locataires dans la région métropolitaine de recensement de Montréal. Statistique Canada a publié les données sur la famille, les ménages et les logements du recensement de 2006. On y apprend que, dans la région métropolitaine de Montréal, 53 % des ménages privés sont propriétaires de leur logement. Lors du recensement de 2001, propriétaires et locataires étaient nez à nez, représentant chacun 50 % des ménages.

Le nombre de propriétaires dans la région de Montréal a donc augmenté de façon considérable entre 2001 et 2006. Entre ces deux recensements, on a observé une augmentation de près de 103 000 ménages propriétaires. Pendant ce temps, le nombre de locataires n’a cru que de quelque 5 500 ménages. Ces statistiques reflètent bien l’engouement des acheteurs sur le marché immobilier résidentiel au cours des dernières années.

De toute évidence, les Montréalais souhaitent de plus en plus posséder leur logement. En 1971, seulement 34 % des ménages de la région de Montréal étaient propriétaires. Cette proportion est passée à 44 % en 1986 et 53 % en 2006 (voir tableau 1). La croissance des revenus est le principal facteur qui explique cette progression.

Cette tendance de fond va assurément se poursuivre. Non seulement il y a tout lieu de croire que le niveau de vie des Montréalais est appelé à augmenter davantage, mais deux autres éléments fondamentaux favoriseront la hausse des taux de propriétaires. Premièrement, la pyramide d’âge. La propension à être propriétaire tend à augmenter avec l’âge (jusqu’à l’âge de 65 ans), et bien sûr, notre population vieillit. Deuxièmement, la popularité grandissante de la formule « copropriété ». Il ne faut pas oublier que ce mode de propriété demeure relativement récent. Permise depuis 1969, la copropriété n’a pris véritablement son envol qu’à la fin des années 80. Aujourd’hui, on en compte plus de 100 000 dans la région de Montréal??. L’émergence de la copropriété a joué un rôle important, car son caractère plus abordable a permis à plusieurs ménages d’accéder à la propriété dans des quartiers centraux. Aujourd’hui, cette formule est de mieux en mieux comprise et acceptée de la part des consommateurs. Comme le prix des propriétés a considérablement augmenté depuis quelques années, le condo s’étend graduellement aux banlieues, offrant ainsi à des ménages qui n’en auraient pas eu les moyens autrement, la possibilité de devenir propriétaires.

(source: CIGM et statistiques Canada)

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2008-01-15

Immobilier: Montréal reste un marché de vendeurs

Moribond dans une bonne partie des États-Unis, le marché immobilier reste en pleine santé dans la grande région de Montréal.

Selon les statistiques de la Chambre immobilière du Grand Montréal, qui se basent sur les transactions effectuées sur son système MLS, utilisé par les courtiers, la croissance des ventes a été de 11% en 2007, soit la plus forte hausse en cinq ans.

«Cette augmentation du nombre de transactions, combinée à un inventaire de propriétés à vendre comparable à 2006, a contribué à maintenir un marché à l'avantage des vendeurs en 2007», indique Michel Beauséjour, directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal. «En conséquence, les hausses de prix sont demeurées soutenues, atteignant en moyenne 5 à 7 % selon le genre de propriété, c'est-à-dire de deux à trois fois le niveau de l'inflation.»

Depuis 1998, le prix des propriétés a doublé dans la grande région de Montréal, stimulé par la création d'emplois, la confiance des consommateurs, de même que des taux d'intérêt historiquement bas.

Toutes les régions faisant partie du Grand Montréal ont profité de cette croissance, la région de Lanaudière se démarquant avec des hausses de 13% du prix des propriétés entre 2006 et 2007.

Favorisé par des évolutions démographiques qui voient les baby-boomers délaisser progressivement la maison de banlieue pour une copropriété, à laquelle ils ajoutent souvent une maison de campagne, le condo est l'unité immobilière la plus en vogue dans le grand Montréal, avec une hausse du nombre de ventes de 20% à Montréal, de 24% en Montérégie et de 28% dans Lanaudière.

Encore une bonne année en 2008

Michel Beauséjour s'attend encore à une bonne année en 2008 pour le marché immobilier montréalais : « Les taux d'intérêt, la création d'emplois et la confiance des consommateurs devraient continuer à pointer dans la bonne direction cette année, quoique peut-être un peu moins fortement qu'en 2007. »

«Il faudrait vraiment une récession sévère aux Etats-Unis pour ébranler l'économie canadienne, qui devrait sortir indemne d'un ralentissement économique moins important au sud de la frontière».

Selon lui, s'il y a eu un rattrapage certain depuis 10 ans dans le prix des résidences dans le Grand Montréal, il reste toutefois encore de l'espace pour des augmentations annuelles dépassant le niveau de l'inflation, Montréal restant un des grands marchés immobiliers les plus abordables en Amérique du Nord.

(source: Jean-François Cloutier - LaPresseAffaires.com)

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2008-01-02

Comment déneiger le toit

Si vous en avez déjà marre de pelleter la neige sur votre terrain, nous n'êtes malheureusement pas au bout de vos peines. Il y a de fortes chances pour qu'il soit maintenant temps de vous attaquer au toit...

«Ce n'est pas encore très alarmant parce que la neige n'est pas très pesante, parce que ça ne fait pas longtemps qu'elle est là, et qu'elle n'a pas eu le temps de réduire et il n'y a pas eu de pluie. Mais quand il va mouiller, c'est sûr qu'on risque d'avoir des toits écrasés cette année», expliquait Éric Castonguay-Ouellet, propriétaire de BOC Déneigement de toitures, lorsque Le Soleil l'a contacté en début de semaine. De la pluie verglaçante est d'ailleurs prévue pour demain.

Selon Marc Bélanger, propriétaire de l'entreprise Escouade des neiges, ce ne sont pas toutes les résidences privées qui exigent un déneigement immédiat, car il faut prendre en considération la pente du toit. Mais dès qu'on atteint 60 cm (deux pieds) de neige, il faut agir. Selon les données de la Régie du bâtiment, un toit plat est généralement construit pour supporter un maximum de 17 cm de glace, de 38 cm de neige durcie ou 70 cm de neige fraîche.

«L'objectif, c'est d'enlever de la surcharge, de dégager les ventilateurs de toit et les évents de plomberie», résume André Gagné, directeur du Service de l'expertise technique de l'APCHQ (Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec). Si les évents de plomberie sont bouchés, il pourrait se dégager une odeur d'égout dans la maison. C'est un bon indicateur qu'il faut déneiger. Idem si les portes commencent à frotter, à fermer difficilement.

«Là, ça commence à être dangereux, la structure commence à être affectée», remarque M. Castonguay-Ouellet. M. Bélanger indique que le déneigement permet de compenser les possibles faiblesses du toit (qui pourraient se traduire en infiltrations d'eau) et limite les risques que la neige dévale et tombe sur la tête de passants.

Il a tellement neigé cette année que déjà, les entreprises de déneigement des toitures sont débordées (voir autre texte). Selon les estimations de M. Bélanger, déneiger le toit d'un bungalow coûte entre 119 $ et 189 $. Son entreprise facture à l'heure; le coût total dépend donc de la quantité et du type de neige à enlever (légère, mouillée, glace).

Si vous comptez réaliser l'exercice vous-même, voici quelques conseils de pros.

  • Premièrement, pensez sécurité. Attachez-vous à l'aide d'un harnais et assurez-vous d'avoir un point d'ancrage solide, tel une cheminée.
  • Tout outil de métal est défendu : le plastique est votre seul allié. Prenez garde aux pelles qui peuvent avoir un renfort en acier, elles sont aussi à proscrire.
  • L'idée est d'enlever une surcharge, pas de faire un ménage, avertit Marc Bélanger. Résistez à l'envie d'enlever toute la neige du toit car vous pourriez abîmer la couverture. Laissez une couche de 10 à 15 cm (quatre à six pouces).
  • M. Bélanger recommande par ailleurs de bien planter l'échelle dans un banc de neige, plutôt que dans l'entrée bien pelletée. Votre échaffaudage sera plus stable et vous ne risquez pas de vous blesser si vous tombez.
  • Si vous lancez la neige dans un secteur que vous devrez pelleter par la suite, n'attendez pas d'avoir terminé d'alléger le toit avant de commencer à l'enlever. La neige du dessous se compactera et sera plus difficile à enlever. Allez-y plutôt par étape.
  • Finalement, lorsque le travail sera complété, ne vous jetez pas dans un banc de neige. Vous pourriez avoir oublié la présence d'un poteau ou d'un accessoire.

(source: Anne Drolet | Le Soleil)

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2007-09-14

L'immobillier en péril au Québec ?

Habitation: la Banque Scotia parle de risque d'une éventuelle baisse des prix

Les prix des habitations au Canada pourraient à nouveau baisser même si les données de base du marché de l'habitation sont encore très bonnes, estime la Banque Scotia.

Dans le document intitulé "Perspectives du secteur immobilier", publié jeudi, Etudes économiques Scotia indique que ce risque provient de "la persistance de conditions d'offre et de demande serrées" qui a porté les évaluations réelles des habitations au-dessus de leur tendance à long terme.

Les auteurs du rapport soutiennent qu'il ne fait pratiquement aucun doute que les tendances actuelles ne pourront pas se maintenir.

"Le chômage est faible, l'immigration est forte et les taux d'inoccupation des appartements sont peu élevés, a affirmé Adrienne Warren, économiste principale, Etudes économiques Scotia, soulignant qu'il y a peu de données qui font croire à un excédent de mises en chantier ou à un cycle spéculatif.

"Le secteur est aussi très peu directement exposé aux prêts à risque. En effet, ce genre de prêts ne représentait qu'environ 5 pour cent des hypothèques au Canada au cours des dernières années, comparativement à quelque 20 pour cent aux Etats-Unis."

Mme Warren a expliqué en outre que dans une perspective à long terme de plus en plus de données indiquent qu'il y a surévaluation du prix des maisons dans certaines parties du pays, signe avant-coureur d'une conjoncture à la baisse. Elle a ajouté que plus le prix des maisons excède les données économiques de base sous-jacentes, plus le risque d'une éventuelle correction est grand.

"Dans les 15 villes étudiées pour la rédaction de ce rapport, les prix actuels, rajustés en fonction de l'inflation, sont supérieurs à leur tendance à long terme, à l'exception de St. John's (T.-N.-L.). Au milieu de l'année, l'écart moyen national était d'environ 8 pour cent. Toutefois, on constate d'importantes variations régionales: l'écart est de 1 pour cent à Ottawa alors qu'il est de 25 pour cent à Edmonton."

Les sommets de 1976 et de 1989 sur le marché de l'habitation ont été tous deux suivis d'un certain rajustement des prix réels. En 1976, les prix des maisons au pays dépassaient de 12 pour cent leur tendance à long terme, alors qu'en 1989, l'écart était de 18 pour cent.

(source: La Presse Canadienne | Yahoo Inc.)

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2007-03-18

L'évaluation de la valeur marchande de votre maison

Des prix à la pièce pour votre maison

Chaque maison est unique. Même dans un quartier où toutes les maisons ont été construites de la même façon.

Elles ont toutes leur propre histoire, leurs caractéristiques particulières: une verrière, un foyer, une piscine creusée, un garage double. Combien valent tous ces extras?

Depuis quelques semaines, Youppy.com dispose d'un outil qui permet de découper votre maison en morceaux.

L'Évaluation EVal est un système expert qui repose sur un algorithme unique. Il est ajusté tous les jours pour inclure les nouvelles transactions dans l'équation.

Pour y parvenir, le système compare des maisons très semblables. Ensuite, le système «recompose» la valeur marchande globale de la maison, à partir de la valeur de toutes ses composantes.

Tout dépend du quartier
Pour fixer le prix de vente d'une maison, les trois facteurs clés restent la superficie habitable, l'âge de construction et la grandeur du terrain. «Ces trois variables forment une grosse partie de la valeur». Si votre maison est plus grande que les maisons voisines, elle devrait se vendre plus cher. Mais ce n'est pas aussi vrai dans tous les quartiers. Plus le quartier est densément peuplé, plus il est huppé, et plus la superficie habitable additionnelle contribue à la valeur de revente.

Une mise en garde
On ne peut pas additionner à l'infini le prix des composantes d'une maison suréquipée. Par exemple, si les maisons comparables à la vôtre valent 150 000$, mais la vôtre a été agrandie, elle est dotée d'un foyer, d'une thermopompe, d'un garage double. Vous ne pourrez pas nécessairement la vendre le double du prix! Le prix moyen de la rue finira par vous rattraper.

Des facteurs négatifs
À l'opposé, d'autres éléments retranchent de la valeur à une propriété. Vous devrez baisser votre prix de vente de 8 à 12%, si votre maison est jumelée, plutôt que détachée. Votre maison vaudra 3 à 13% de moins, si elle dispose d'une cave de service ou d'un vide sanitaire, au lieu d'un sous-sol normal. La proximité d'un grand boulevard ou d'un chemin de fera baisser le prix 2 à 5%, en raison du bruit, de la pollution et autres désagréments. Étonnamment, le prix des maisons collées sur une école primaire est aussi réduit à cause du va-et-vient des autobus scolaires. Par contre, les maisons situées à distance de marche d'une école primaire (mais pas trop proche!) se vendront plus cher que celles qui sont trop loin pour que les tout-petits se rendent à pieds. Une mauvaise apparence extérieure aura aussi une influence négative. Si votre maison est entièrement recouverte de vinyle, même en façade, son prix de vente pourrait être réduit de 5%, par rapport à une maison qui a une façade en briques. À l'inverse, s'il y a de la pierre ou de la brique tout le tour de votre maison, son prix de vente pourrait être 5% de plus qu'une maison qui est recouverte de brique ou de pierre uniquement en façade.

Prenez note que tous les clients de Youppy.com peuvent recevoir leur évaluation "EVal" de juste valeur marchande en contactant leur représentant.

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2007-02-19

Les 10 règles d'or de la copropriété

Un cauchemar d'organisation, la copropriété? Pas si tous les membres connaissent leurs droits... et leurs obligations. Voici ce qu'en pense un expert. «Le pire, c'est de vouloir faire les choses à la bonne franquette. C'est souvent dans ces cas-là que les problèmes surviennent», prévient Yves Joli-Coeur, avocat spécialisé en droit immobilier. Avant d'acheter, mieux vaut être informé.

En collaboration avec Mon toit, l'avocat a relevé 10 contraintes et soucis qui touchent la majorité des copropriétaires. Les futurs acheteurs sauront ainsi à quoi s'en tenir.

Déjà copropriétaires? À vos conventions... prêts? Réconciliez-vous!

1- Animaux
Dans la plupart des grands immeubles, la convention de copropriété réglemente la possession d'animaux domestiques. Vous recueillez tous les chats abandonnés qui croisent votre route? Pensez-y deux fois avant d'acheter un appartement. Dans ses règlements d'immeuble, un syndicat de copropriétaires -le conseil qui veille au bon fonctionnement de l'immeuble- peut limiter le nombre d'animaux domestiques à un seul par logement, ou encore demander aux résidants de prendre leur chien dans leurs bras pour traverser le hall d'entrée. Rien à faire pour s'en sauver: acheter une copropriété, c'est accepter de se conformer à la convention.

2- Dégâts
Un copropriétaire décide de faire des frites. Son expérience culinaire dégénère et tout l'édifice est rasé par les flammes. Les assureurs du bâtiment paient pour les dommages, mais est-ce que des copropriétaires mécontents peuvent le poursuivre pour négligence? La plupart du temps, non. Beaucoup de conventions protègent chacun des copropriétaires contre des poursuites individuelles en cas de sinistre. Par contre, la personne responsable de l'incident doit payer la somme déductible exigée par l'assureur.

3- Frais de condo
Une fois la nouvelle hypothèque et les taxes ajoutées au budget, les frais de condo irritent beaucoup de copropriétaires. Chaque mois, ils doivent verser une certaine somme à leur syndicat. Pourquoi ne pas tout payer au fur et à mesure? Parce qu'il y a l'entretien paysager, les retouches de peinture, et les travaux majeurs à prévoir. «Dans les petits immeubles, on préfère souvent diviser les dépenses au cas par cas, sans formalité, constate Me Joli-Coeur. C'est bien la simplicité, mais le jour où le toit coule et que personne ne peut payer, c'est plus stressant.» Pour établir avec justesse le montant des frais de condo, l'avocat suggère aux syndicats de copropriétaires de s'adresser à un gestionnaire de copropriété, qui pourra aider à établir un budget.

4- Fonds de prévoyance
Les frais de condo, c'est bien, mais se garder un petit en-cas pour les travaux majeurs, c'est mieux. La loi oblige les syndicats de copropriété à consacrer au moins 5 % des frais de condo à un fonds de prévoyance. Par contre, si les fenêtres doivent être changées dans un avenir rapproché, les copropriétaires peuvent être contraints d'augmenter leurs frais mensuels pour regarnir le fonds de prévoyance. D'où l'importance d'être informés des travaux à venir avant l'achat d'un appartement.

5- Bruit
Des enfants qui jouent avec de petites voitures à l'aube, un voisin violoniste qui n'est inspiré que la nuit, un couple qui s'engueule sans cesse... En achetant un condo, vous ne savez pas sur quels copropriétaires vous pouvez tomber. Avez-vous des recours? Oui et non. «Si le promoteur vous a vendu un condo en vous disant que l'insonorisation était supérieure, et que vous entendez votre voisin uriner, vous êtes bien placé pour gagner un recours contre lui, explique l'avocat. Par contre, si vous achetez un vieil appartement ou une copropriété bas de gamme, il vous faudra être tolérant.»

6- Entretien
Comment savoir si un copropriétaire vend son appartement pour éviter d'assumer le coût de travaux essentiels ? Le syndicat de copropriétaires peut éclairer l'acheteur sur les dépenses à venir... s'il n'est pas lui-même négligent. Et le laxisme peut avoir des conséquences dramatiques. «Il y a déjà des personnes qui sont mortes quand un ascenseur mal entretenu est tombé, raconte Me Joli-Coeur. C'est un cas extrême, mais dans les immeubles où il y a un garage et des ascenseurs, il y a beaucoup de petits détails à considérer.» D'après lui, la solution pour s'assurer qu'un édifice est en ordre, c'est d'obliger les syndicats des copropriétaires à tenir un carnet d'entretien, semblable à ceux que tous les copropriétaires utilisent en France.

7- Copropriétaire récalcitrant
Malgré le refus de son syndicat de copropriétaires, un bricoleur du dimanche s'obstine à transformer son balcon en solarium. Il est chez lui, après tout ! Pas tout à fait, rappelle Me Joli-Coeur. Si la convention interdit ce genre de transformation, les administrateurs de la copropriété peuvent lui demander de stopper les travaux: d'abord cordialement, puis fermement, pour ensuite lui envoyer une mise en demeure, et demander finalement au tribunal de trancher. Si la convention est claire, la justice sera probablement du côté du syndicat.

8- Plancher
Allergique aux poussières dans les tapis? Examinez minutieusement la convention de la copropriété que vous souhaitez acheter. Il est strictement interdit d'installer des revêtements de plancher durs (bois et tuiles) dans certains immeubles. Le tapis assure une meilleure barrière contre le bruit des pas. De plus, les conventions qui permettent l'installation de bois régiront parfois la qualité de l'insonorisation. Et gare aux installateurs négligents: si l'isolation est en deçà des critères clairement établis par la convention, le syndicat peut obliger le copropriétaire fautif à enlever son plancher.

9- Assurances
«Voilà une chose qui peut mener certains propriétaires à leur perte», prévient Me Joli-Coeur. L'évaluation du bâtiment doit être faite régulièrement, et par un professionnel. Grâce à cet avis, le syndicat peut faire assurer l'immeuble pour un montant suffisant. Parfois, les copropriétaires doivent débourser eux-mêmes la différence entre le montant remis par les assurances et la valeur réelle du bâtiment. L'évaluation coûte cher, admet-il, mais si les administrateurs négligent de la demander, ils peuvent être poursuivis pour mauvaise gestion. Un moindre mal, donc, d'embaucher un évaluateur.

10- Parties communes
Amateurs de barbecue et de télévision par satellite, vous pourriez devoir laisser ces habitudes derrière vous en déménageant dans une copropriété, particulièrement si elle se trouve dans un immeuble haut de gamme. Un des devoirs du syndicat de copropriétaires est de s'assurer que le bâtiment conserve son apparence d'origine. Les soucoupes grises et la fumée des grillades n'obtiennent pas la faveur populaire chez la majorité des copropriétaires, qui préfèrent nettement la discrétion des fleurs. Ce souci d'uniformité peut aller jusqu'à empêcher un copropriétaire de mettre une pancarte devant son appartement pour le vendre.

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2006-11-20

Hausse record de la valeur des maisons et condos à Laval

La forte spéculation immobilière frappe de plein fouet la Ville de Laval où la valeur des propriétés bondit de près de 40% dans le nouveau rôle triennal d'évaluation foncière. Les Lavallois encaisseront la plus forte hausse de l'histoire de cette municipalité.

Les terrains vacants connaissent la plus forte augmentation, soit 73,8%. «Les terrains se font de plus en plus rares et il y a une forte demande. Laval connaît une effervescence phénoménale de la construction résidentielle», observe Ernest Lépine, directeur du service d'évaluation.

La valeur des propriétés du secteur résidentiel augmente en moyenne de 46,6%. À Laval, huit immeubles sur 10 se retrouvent dans cette catégorie. La valeur des maisons unifamiliales (1 logement) augmente de 45% en moyenne. Le nouveau rôle d'évaluation foncière a été déposé mercredi au comité exécutif de la Ville de Laval.

Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, estime qu'il s'agit d'une «bonne nouvelle» pour les contribuables. Le maire soutient que les taux d'imposition seront abaissés afin d'amoindrir l'impact du nouveau rôle. La variation des valeurs à travers la ville amènera néanmoins certains propriétaires à payer davantage de taxes et d'autres à connaître un répit.

Les propriétaires avec des hausses plus importantes que la moyenne se retrouveront avec une hausse de leur impôt foncier. Les contribuables avec des hausses moins fortes que la moyenne connaîtront pour la plupart des baisses de leur impôt foncier.

Le maire Vaillancourt précise toutefois que les hausses de taxes moyennes seront en dessous de l'inflation dans le prochain budget. Le maire de Laval promet aussi d'étaler l'augmentation du rôle d'évaluation sur trois ans. M, Vaillancourt refuse d'emboîter le pas à Montréal qui souhaite étaler son rôle sur quatre ans.

La valeur des bâtiments et des terrains à Laval atteindra en 2007 une valeur de 30,9 milliards de dollars. Il s'agit d'une hausse de huit milliards par rapport au rôle d'évaluation 2004-2005-2006. Le rôle précédent était déjà en hausse de 20% en moyenne. Le nouveau rôle s'appliquera jusqu'à la fin 2009 et il reflète la valeur des propriétés au 1er juillet 2005.

Selon M. Lépine, Laval accueille depuis six ans pour environ 700 millions de dollars de nouvelles constructions. La tendance reste d'ailleurs à la hausse à Laval. Le directeur du service d'évaluation estime que la valeur des propriétés a progressé de 8 à 10% au cours de la dernière année.

Les propriétaires peuvent déjà consulter la nouvelle évaluation de leur propriété sur le site Internet de la Ville de Laval.

(source: Sébastien Rodrigue , La Presse, Montréal)

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2006-11-01

Pour vous convaincre d'acheter une maison neuve, on vous offre des comptoirs en granit, une nouvelle voiture ou même un voyage... Complètement fou? Non!

C'est le genre de primes que les promoteurs américains offrent aux consommateurs pour écouler leurs stocks de maisons sans avoir à sabrer leur prix de vente. Mais ça ne marche plus, comme le démontrent les statistiques dévoilées jeudi.

En septembre, le prix médian des maisons neuves est tombé de 9,7% par rapport à l'année précédente. "C'est énorme ! On n'a pas vu ça depuis 36 ans ", dit Luc Fournier, gestionnaire de portefeuille à l'Industrielle-Alliance.

Pour la même période, le prix des maisons existantes est en baisse de 2,4%, a-t-on appris plus tôt cette semaine. Au total, le marché immobilier vit son pire recul historique.

De quoi garder les investisseurs sur le qui-vive. "Présentement, l'immobilier américain est la pierre angulaire de tout le monde et la nôtre aussi", dit M. Fournier.

Pourquoi? Par sa taille, l'économie américaine influence toute sa planète. Et l'immobilier est le facteur qui a le plus stimulé le dernier cycle économique aux États-Unis.

"Depuis 2002, l'immobilier a contribué à près de 40% de la création d'emplois aux États-Unis", rapporte M. Fournier. Des emplois dans la construction, mais aussi dans le courtage immobilier, dans le financement hypothécaire et toutes sortes de secteurs connexes... Si l'immobilier s'écrase, ces gens conserveront-ils leur gagne-pain?

"Le ralentissement de l'immobilier est bien réel. Mais on n'a pas encore vu de pertes d'emplois. Cela créerait une deuxième onde de choc", estime M. Fournier. Mais pour cela, il faudrait que l'immobilier végète pendant une longue période. "C'est un peu comme l'essence. On va survivre si le prix monte à 1,50$ pendant une semaine. Mais si ça reste comme ça un an, c'est plus grave", illustre M. Fournier.

Prenez un promoteur qui construit une tour d'habitation. Il ne s'arrêtera pas au milieu du chantier parce que les prix de vente baissent. Les ouvriers finiront le travail. Ce n'est que plus tard que leurs emplois seront en jeu.

D'ici là, les investisseurs vivent au rythme des données économiques contradictoires, comme c'est souvent le cas en période de transition. Le repli de l'immobilier poussera-t-il les États-Unis en récession?

Ou les Américains en seront-ils quittes pour un atterrissage en douceur de leur économie? Voilà le grand débat qui anime les marchés financiers.

"Ces dernières années, les investisseurs qui ont bien réussi sont ceux qui avaient de fortes concentrations dans certains secteurs comme l'énergie. Maintenant, il vaut mieux être bien diversifié, estime M. Fournier.

Il faut garder un pied dans les secteurs cycliques et un pied dans les secteurs défensifs." En cas de récession , la construction et les mines et métaux seront frappés.

Mais ce sont des secteurs intéressants pour des investisseurs patients qui visent le long terme. Côté métaux, il y a un équilibre très sain entre l'offre et la demande.

Côté construction, il ne faut pas oublier que toutes les maisons construites depuis sept ans auront besoin de rénovations au cours des 10 prochaines années.

(source: Stéphanie Grammond , La Presse affaires, Montréal)

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2006-09-29

La hausse des prix des maisons ralentit à Montréal

Bonne nouvelle pour ceux qui projettent de s'acheter une maison à Montréal: la hausse des prix continue de ralentir à Montréal, et la tendance devrait se poursuivre l'année prochaine.

Plus de maisons sur le marché, moins d'acheteurs qui se les arrachent: " L'offre et la demande commencent à s'équilibrer ", note Gino Romanese, premier vice-président chez Services immobiliers Royal LePage.
Les hausses dévoilées hier par le courtier immobilier pour le troisième trimestre paraîtront bien raisonnables à ceux qui se magasinent un nid en territoire montréalais. Le bungalow individuel a gagné 5 % et se vend en moyenne 213 691 $. Le prix moyen de la maison standard à deux étages n'a augmenté que de 0,4 % pour atteindre 317 391 $, tandis que l'appartement de copropriété moyen a gagné 1,6 % pour s'établir à 190 940 $.

" Depuis trois ou quatre ans, on voyait des augmentations de 8 à 10 % par année sur le côté inférieur, et jusqu'à 15 ou 16 % sur le côté supérieur ", rappelle Gino Romanese, premier vice-président chez Services immobiliers Royal LePage. Fini, donc, le temps où " les agents d'immeubles et les acheteurs se plaignaient qu'ils n'avaient pas de choix et que les maisons partaient rapidement à des prix souvent supérieurs à ceux demandés ", dit M. Romanese. Ce ralentissement des hausses de prix s'explique à la fois par la hausse du nombre de maisons sur le marché et la baisse de la demande. Selon M. Romanese, il y a actuellement environ 12 % plus de propriétés à vendre sur le marché montréalais qu'au même moment l'année dernière. " Après plusieurs années d'augmentation de prix, les gens se disent que c'est peut-être le bon moment de vendre ", explique M. Romanese. Les baby-boomers dont les enfants ont quitté le nid familial se retrouvent maintenant avec de grandes maisons vides et se tournent vers les condos. Et toutes les maisons neuves que l'on s'est empressé de construire au cours des dernières années commencent à faire leur apparition sur le marché de la revente.

Les acheteurs, de leur côté, font face à des taux d'intérêt un peu plus élevés qu'auparavant. Les évaluations foncières ont aussi considérablement augmenté à Montréal, ce qui a pu freiner leurs ardeurs. Et tout indique que plusieurs ont probablement songé à signer un bail plutôt qu'une hypothèque. " À Montréal, actuellement, les taux d'inoccupation sont à la hausse et les loyers à la baisse, et la location représente donc un choix attrayant pour certains acheteurs potentiels ", souligne Royal LePage dans son étude. Selon M. Romanese, l'augmentation du prix des maisons à Montréal continuera de ralentir l'année prochaine.

Le marché montréalais, tout comme celui de l'ensemble du pays, continue toutefois d'être très vigoureux- un contraste avec ce qui se passe chez nos voisins du Sud, où les économistes craignent un effondrement du marché immobilier.

Le nombre de maisons vendues avait brisé un record l'an dernier au pays, et selon l'Association canadienne de l'immeuble, nous voguons tout droit vers un nouveau record pour 2006.

Sans surprise, c'est à Calgary et Edmonton que les hausses de prix ont été les plus élevées au cours du troisième trimestre.

(source: Philippe Mercure, La Presse, Montréal)

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2006-09-11

L'art à la rescousse des agents immobiliers

L'art vient à la rescousse d'agents immobiliers inventifs qui, confrontés à un marché immobilier américain en forte baisse, tentent de séduire leur clientèle avec un tableau de maître au mur plutôt qu'un coup de peinture. Surtout sur la côte ouest des États-Unis mais aussi à New York, la mise en scène et décoration (staging) des maisons à vendre est devenue très en vogue, avec la location, de plus en plus fréquente, de tableaux d'artistes. Ils sont là pour embellir les lieux mais ne sont pas des cadeaux. Et ça marche, assure Jan Sewell, agent immobilier à Seattle et spécialiste de la décoration de maisons à vendre. «Combien de fois une maison restait sur le marché invendue et une fois que nous l'avions redécorée, nous recevions de multiples offres d'achat», explique-t-elle à l'AFP.

Cette amatrice d'art travaille notamment avec la galerie de vente et de location de tableaux du Seattle Museum of Art. La galerie fait 20 % de son million de dollars de chiffre d'affaires en louant aux agents immobiliers la production d'artistes contemporains locaux, a indiqué une de ses responsables, Jodi Bento. Selon Jan Sewell, qui a en location une centaine d'oeuvres d'art actuellement en circulation sur les murs des maisons à vendre, la peinture d'un artiste va agir au niveau subliminal et inconscient et aider l'acheteur à tomber amoureux de la maison. «Les gens pensent qu'on doit être rationnel lorqu'on achète une maison, mais on ne l'est jamais», plaisante-t-elle. Même constatation pour Angela Di Bello, directrice de l'Agora Gallery à New York qui loue des tableaux aux agents immobiliers. «Lorsque vous entrez dans une pièce où il y a de l'art, l'espace se personnalise. Cela instille une sorte de passion et d'excitation dans l'esprit du visiteur», assure-t-elle. Cela aide à faire en sorte qu e les gens se sentent bien, affirme-t-elle. «Et lorsqu'ils se sentent bien, les gens disent oui. Quand ce n'est pas le cas, ils deviennent négatifs et disent non».

La copropriété est constituée de deux composantes. La première est un ensemble de parties privatives nommées « logements ». Chaque logement est détenu par son acheteur et enregistré à son nom. La seconde est formée des parties communes de l'immeuble, comme le foyer, les couloirs, les ascenseurs, les aires récréatives, les allées, les jardins, etc., et peut également comprendre des éléments de structure et des systèmes mécaniques et électriques. La propriété des parties communes est partagée entre les propriétaires de chaque logement, comme le sont les coûts normaux de fonctionnement, d'entretien et de remplacement.

Il faut toutefois trouver un équilibre et garder à l'esprit que le but principal est de vendre la maison, rappelle Jan Sewell. «On doit éviter que l'acheteur potentiel ne tombe trop sous le charme de l'oeuvre», car il arrive, ce n'est pas si rare, que le visiteur reparte avec la peinture plutôt que la maison. La plupart du temps, les agents immobiliers-scénographes choisissent ainsi de l'art abstrait contemporain, pour un prix équivalent environ à 3 % du coût total de l'oeuvre pour l'avoir à disposition pendant trois mois. Il est rare que le prix du tableau dépasse 20 000 dollars. Le prix de location s'échelonne ainsi entre 50 et 600 dollars et si cela se fait notamment pour les logements haut de gamme, l'idée s'inflitre de plus en plus aussi dans le bas de l'échelle, assure la directrice de la galerie new-yorkaise.

La galerie Larsen à Scottsdale, dans la banlieue de Phoenix, loue parfois des paysages traditionnels. «Le style d'oeuvres est vraiment dicté par le mobilier, l'architecture de la maison. Nous les aidons à donner à leur logement une apparence du tonnerre», résume Scott Larsen, propriétaire de la galerie qui loue parfois des gravures de Dali. Avec le ralentissement du marché de l'immobilier, les agents se décarcassent pour innover, conclut Gopal Ahluwalia, auteur d'une étude pour l'association professionnelle National Association of Home Builders, qui montre que les promoteurs font feu de toutes les promotions pour vendre plus vite. Certains offrent des cheminées, du parquet en option, parfois une piscine, un voyage ou une voiture pour les maisons plus chères.

En juillet aux États-Unis, les ventes de logements neufs ont accusé un recul de 4,3 % et de 4,1 % pour les reventes.

(source: Virginie Montet, Agence France-Presse, Washington)

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2006-09-05

Qu'est-ce qu'un logement en copropriété ?

Les logements en copropriété offrent à l'acheteur un potentiel et diverses caractéristiques intéressantes telles que l'abordabilité et la simplicité d'entretien. Plusieurs d'entre eux sont équipés de dispositifs de sécurité plus complets que ceux des maisons individuelles. Certains ensembles de logements en copropriété sont des complexes entiers offrant toute une gamme d'activités sociales et récréatives. Avant l'achat, les futurs propriétaires doivent toutefois bien comprendre l'importance d'un certain nombre de facteurs liés à l'achat et au style de vie dans un logement en copropriété. Cette section présente certains faits dont la connaissance contribue à la réussite de l'expérience du logement en copropriété.

Condo: les détails

La « copropriété » renvoie à une forme de propriété et non à un type de bâtiment. Bien que l'on songe tout de suite à des immeubles résidentiels de grande hauteur, cette forme de propriété peut également s'appliquer à des ensembles de maisons en rangée, à des maisons isolées et à des immeubles résidentiels de faible hauteur. Ce mode de possession est connu sous le nom de « strata » en Colombie-Britannique et de syndicat de copropriété au Québec.

La copropriété est constituée de deux composantes. La première est un ensemble de parties privatives nommées « logements ». Chaque logement est détenu par son acheteur et enregistré à son nom. La seconde est formée des parties communes de l'immeuble, comme le foyer, les couloirs, les ascenseurs, les aires récréatives, les allées, les jardins, etc., et peut également comprendre des éléments de structure et des systèmes mécaniques et électriques. La propriété des parties communes est partagée entre les propriétaires de chaque logement, comme le sont les coûts normaux de fonctionnement, d'entretien et de remplacement.

Chaque propriétaire de logement détient un droit de propriété indivis sur les parties communes de l'immeuble. Ce droit est souvent désigné sous le nom de « quote-part de propriété ». La quote-part de propriété d'un logement est généralement proportionnelle à la valeur de ce logement par rapport à la valeur de tous les logements de l'association des copropriétaires. Cette quote-part sert d'ailleurs au calcul des frais mensuels d'entretien et de renouvellement des parties communes que vous devez payer.

La création d'une copropriété est régie par la législation provinciale ou territoriale et par les règlements municipaux applicables. Il y a plusieurs manières de procéder. Dans certaines provinces, un promoteur, ou toute partie intéressée, peut déposer une déclaration de constitution de copropriété, alors que dans d'autres, une demande de titre doit être effectuée après approbation officielle des plans. L'exploitation d'une copropriété est également soumise à la loi provinciale ou territoriale et est assujettie à la déclaration et au règlement de la copropriété.

Une fois l'association des copropriétaires établie, les copropriétaires procèdent à l'élection d'un conseil d'administration, généralement formé de copropriétaires, qui assumera la tâche d'administrer les affaires de l'association. Il y a généralement une assemblée de transfert des responsabilités. Chaque copropriétaire a droit de vote à ces assemblées, et le poids de son vote varie généralement en fonction de la valeur de la quote-part attribuée à son logement.

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2006-07-01

Laval:Terre d'habitation

La construction résidentielle à Laval s'est maintenue à un niveau plus que respectable au cour de l'année 2005. Le territoire est le seul grand ensemble géographique ou l'on a pas observé de baisse notoire. Certes, les mises en chantierde maisons unifamiliales ont basissées de 42% ces six premiers mois par rapport au semestre 2004 de même que la copropriété à reculé de 17% sur la même période, mais les chiffres de la SCHL souligne que l'on y bâti 570 maisons unifamiliales et 540 logements locatifs de même que 3 grands projets de résidences de personnes agées.

Économiquement Laval va très bien. La région s'enrichie, ce qui contribue à la santé du marché. Tout comme le marché de la construction, le marché de la revente de Laval vient d'entamer une baisse sommes toute relative de l'ordre de 8% au cour du premier semestre de l'année 2005. Cette basisse concerne tous les trypes d'habitations. Laval reste bien positionné par rapport aux autres régions et n,a pas atteint un seuil alarmant. A titre d'exemple, il se vend 70 condos neuf par mois.

Si le marché de Laval plaide encore en faveur du vendeur, contrairement au marché de Montréal, il s'emblerait qu'un rééquilibrage entre l'offre et la demande est en train de s'opérer. Conséquence: même si certains vendeurs rêvent encore de réaliser une transaction lucrative, on voit de moins en moins de surenchères et sommes davantage dans un marché équilibré.

Selon les chiffres de la SCHL, la croissance des prix de Laval pour une unifamiliale était de 13% au premier trimestre de l'année 2004 et de 14% pour le premier trimestre de l'année 2005. A titre d'indication, le prix moyen en 2004 d'une maison unifamiliale était de 187 487$. En comparaison, il était de 185 070$ pour la rive Sud de Montréal, 168 943$ sur la Rive-Nord de Laval et 302 859$ sur l'ïle de Montréal.

Cette vigueur du marché Lavallois se matérialise dans quasiment tous les types d'habitation. Historiquement, la maison individuelle est reine sur ce territoire. Une prédominence qui ne se dément toujours pas puisque cela représente toujours près de 62% du bâti résidentiel dans l'ïle. La maison unifamiliale se vend extremement bien dans la construction neuve, dans tous les genres et tous les prix. Le condo se vend aussi très bien.

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2006-06-01

Plus de 380 000 ménages dans cinq grands centres urbains ont l'intention d'acheter une habitation en 2006

Plus de 380 000 ménages, soit en moyenne 8 % des ménages vivant à Halifax, Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver, sont prêts à acheter une habitation cette année. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les intentions d'achat ou de rénovation des consommateurs, diffusés par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

Huit pour cent des ménages ont dit qu'ils feraient fort probablement l'acquisition d'un logement durant les douze prochains mois et pourraient être considérés comme « prêts à acheter », tandis que 5 % ont indiqué que les probabilités qu'ils en fassent autant sont de 50 %. L'Enquête est réalisée au moyen d'un échantillon d'environ 4 000 ménages par ville.

« Dans les cinq principaux marchés ayant fait l'objet de l'Enquête, les intentions demeurent fortes, puisque 8 % des ménages interrogés disent envisager sérieusement d'acheter une habitation cette année », a déclaré Bob Dugan, économiste en chef à la SCHL. « La proportion de ménages ayant l'intention d'acheter s'est accrue par rapport à 2005, année où 5 % des ménages interrogés se disaient prêts à passer à l'action. Les fortes intentions exprimées cette année cadrent avec le nombre toujours élevé de mises en chantier d'habitations et de ventes de logements existants. La conjoncture économique favorable, caractérisée notamment par de bas taux hypothécaires et un marché du travail dynamique, contribue à soutenir les intentions d'acheter une habitation. »

Les intentions d'achat les plus fortes ont été observées à Calgary et à Halifax, où 10 % des ménages se disent prêts à acquérir un logement. Les intentions sont fortes également à Vancouver et à Toronto, où 8 % des ménages sont prêts à passer à l'action, tandis qu'elles le sont un peu moins à Montréal (7 %).

« Le secteur de la rénovation résidentielle restera vigoureux cette année, car 13 % des propriétaires d'habitation interrogés ont indiqué qu'ils sont prêts à entreprendre cette année des travaux de rénovation d'au moins 1 000 $ », d'ajouter M. Dugan. « La proportion de propriétaires songeant sérieusement à rénover a diminué par rapport à 2005, année où 17 % se disaient prêts à rénover. Malgré la baisse du pourcentage de propriétaires envisageant de tels travaux cette année, les sommes qui seront consacrées à la rénovation devraient augmenter. »

Les plus fortes intentions de rénover ont été exprimées à Calgary et à Halifax, où la proportion de consommateurs prêts à rénover cette année était respectivement de 21 % et de 20 %. Les pourcentages sont moins élevés dans les autres villes : 14 % à Toronto, 13 % à Vancouver et 11 % à Montréal.

La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est l'organisme national responsable de l'habitation au Canada, et ce depuis plus de 60 ans. La SCHL veille à ce que les Canadiens aient accès à un large éventail de logements de qualité, à coût abordable, et elle favorise la création de collectivités et de villes dynamiques et saines partout au pays. Pour en savoir davantage, veuillez composer le 1 800 668-2642.

 
Pourcentage (%) de ménages prêts à :
 
acheter d'ici 12 mois
rénover d'ici 12 mois
Calgary
10
21
Halifax
10
20
Montréal
7
11
Toronto
8
14
Vancouver
8
13
Les cinq centres confondus
8
13

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2006-05-01

La technique du "Home staging": Pour vendre plus rapidement et à meilleur prix !

La technique "stager" indique simplement de préparer votre maison à la vente nonobstant le prix ou la location. Il s'agit principalement de dépersonnaliser votre maison, de la présenter comme une maison modèle.

Il vous faudra vous placez dans les yeux d'un acheteur. Faites comme si vous voyez pour la première fois votre maison. Toute les sommes investies pour préparer votre maison vous serons récupérées lors de la vente de celle-ci.

"Home staging" - L'intérieur:

Il vous faudra prévoir à l'avance les nombreux frais initiaux liés à l'achat d'une propriété. Il importe d'établir un échéancier pour vous aider à faire en sorte que tout se passe bien.

  • Enlevez tous les objets jugés inutiles des meubles de la maison. Regroupez par la suite les objets conservés par groupe de 1, 3 ou 5.
  • Faites le ménage du comptoir de cuisine. Enlevez tous les appareils électriques ou autres de celui-ci.
  • Nettoyez la facade de votre frigo ainsi que le dessus. On ne doit pas voir aucune photo ou message manuscrit.
  • Dans les salles-de-bain, enlevez, encore une fois, tous les objets inutiles des comptoir, rideaux, commodes et tablettes. Gardez que vos parfums favoris et autres objets. Regroupez ces derniers dans un petit groupe sur le comptoir. Coordonnez vos serviettes en vous assurant de n'avoir qu'une ou deux couleurs au maximum.
  • Redisposez et enlevez des meubles si nécessaires. Comme propriétaires, nous avons plus souvent qu'autrement, beaucoup trop de meubles dans nos pièces. Ceci est parfait pour notre quotidien mais quand vient le temps de mettre en marché votre maison, vous vous devez de garder que le stricte minimum, de facon à faire paraître vos pièces plus grandes.
  • Enlevez ou réaménagez les photos et objets étant accochés à vos murs. Réparez les fissures et repeindre vos murs si nécessaire.
  • Revoyez votre maison, pièce-par-pièce, et: 1- Repeingnez les pièces nécessaires; 2- Nettoyez les tapis et les rideaux qui sont défraichis; 3- Nettoyez les fenêtre de la maison.
  • Si vous devez avoir plus d'espace pour ranger vos biens, utilisez le garage ou la cabane. Sinon, louez un espace tempraire afin de ranger vos effets.
  • Laissez certaines lumières constamment allumées dans la maison. Lors de visite d'acheteurs, assurez-vous d'allumer toutes les lumières et lampes de la maison.
  • Lors de visite d'acheteur, assurez-vous d'avoir une musique de fond douce et harmonieuse. Ceci établira un lien de confiance et de bien-être.
"Home staging" - L'extérieur:
  • Faites le tour de votre maison et rangez vos poubelles, bois en surplus, accessoires superflus et autres dans la cabane ou le garage.
  • Vérifiez et nettoyez vos gouttières, vérifiez aussi la toiture pour toute mousse et/ou pourriture. Assurez-vous quelles soient propres et en parfaites conditions.
  • Regardez tous vos arbres et plantes. Assurez-vous que l'on puisse voir toutes vos fenêtres. Vous ne pourrez pas vendre votre maison si on ne peut la voir convenablement. Les arbres et plantes sont comme les enfants: ils grandissent très vite !
  • Assurez-vous que votre pelouse est parfaite. Enlevez tous mauvais herbes. Fertilisez et remplacez les sections endommagées. Gardez votre pelouse toujours fraiche et coupée. Assurez-vous d'enlevez toute plante ou arbuste mort.
  • Enlevez du patio et de la terrasse tous les petits objets: pot, plante, jouets, etc...
  • Véfifiez la peinture de votre maison. Spécialement la porte d'entrée et les moulures.

Notez que notre compagnie: Youppy.com, vous offre des conseils et peut se rendre chez vous afin de vous aider à "stager" votre demeure. Croyez-nous, vous en sortirez gagnant ! Appelez nous au 1-866-9-Youppy pour plus de détail.

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(English version)

"Staging" your Home

"Staging" is simply the process of preparing your home for sale, regardless of price or location.

Try looking at your house "THROUGH THE BUYER'S EYES" as though you've never seen it or been there before. Any time or money invested on the following will bring back more money in return, and hopefully a faster sale.

"Home staging" - The interior:
  • Clear all unnecessary objects from furniture throughout the house. Keep decorative objects on the furniture restricted to groups of 1, 3, or 5 items.
  • Clear all unnecessary objects from the kitchen countertops. If it hasn't been used for three months... put it away! Clear refrigerator fronts of messages, pictures, etc. (A sparse kitchen helps the buyer mentally move their own things into your kitchen.)
  • In the bathroom, remove any unnecessary items from countertops, tubs, shower stalls and commode tops. Keep only your most needed cosmetics, brushes,perfumes etc.., in one small group on the counter. Coordinate towels to one or two colors only.
  • Rearrange or remove some of the furniture if necessary. As owners, many times we have too much furniture in a room. This is wonderful for our own personal enjoyment, but when it comes to selling, we need to thin out as much as possible to make rooms appear larger.
  • Take down, or rearrange certain pictures or objects on walls. Patch and paint if necessary.
  • Review the house inside room by room, and 1- Paint any room needing paint; 2- Clean carpets or drapes that need it; 3- Clean Windows.
  • If you need room to store extra posessions use the garage or rent a storage unit.
  • Leave on certain lights during the day. During "showings" turn on all lights and lamps.
  • Have stereo FM on during the day for all viewings.
"Home staging" - The exterior:
  • Go around the perimeter of the house and move all garbage cans, discarded wood scraps, extra building materials, etc., into the garage.
  • Check gutters and roof moss and dry rot. Make sure they are swept and cleaned.
  • Look at all plants... prune bushes and trees. Keep plants from blocking windows. "YOU CAN'T SELL A HOUSE IF YOU CAN'T SEE IT." Plants are like children - they grow so fast!!
  • Weed and then mulch all planting areas. Keep lawn freshly cut and fertilized. Remove and dead plants or shrubs.
  • Clear patios or decks of all small items. such as small planters, flower pots, charcoal, Barbecues, toys. etc.. (Put them in the garage or a storage unit.)
  • Check paint condition of the house - especially the front door and trim. "CURB APPEAL REALLY WORKS!"

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2006-04-21

La Maison Novoclimat: confort et différance

La maison d'aujourd'hui est bien plus qu'un simple lieu de résidence: c'est à la fois un milieu de vie et un investissement pour l'avenir. Voici la maison Novoclimat: La nouvelle tendance en matière de construction résidentielle.Vous voulez vous assurer que votre maison sera bien confortable, que l'air que vous respirerez sera sain et que vos coûts de chauffage seront réduits au minimum? Réalisées avec soin par des constructeurs spécialement formés et accrédités par l'Agence de l'efficacité énergétique du Québec, les maisons Novoclimat répondent à des normes supérieures de construction qui vous procureront confort et économies. Ces maisons sont inspectées, testées et livrées avec une certification gouvernementale confirmant leur supériorité.

  • Avantage d'une maison novoclimat:

  • Des planchers chauds et confortables

    Novoclimat exige une isolation supérieure à la norme actuelle. La pose continue d'un isolant performant, allant de la cave au grenier, protège mieux la structure du froid et procure un rendement énergétique supérieur, à un coût moindre.

    Pas de courants d'air désagréables

    Les murs et le toit sont construits selon de nouvelles techniques plus performantes. En plus d'éliminer les courants d'air désagréables, on empêche l'humidité de pénétrer dans les murs et d'endommager la maison qui devient plus facile à chauffer et plus confortable.

    Un air intérieur plus sain

    Avec Novoclimat,seuls des appareils dont les performances sont testées et vérifiées en laboratoire sont installés. Grâce à un système de ventilation à récupération de chaleur (VRC), l'air intérieur est renouvelé dans chaque pièce habitable. Les surplus d'humidité, les odeurs et les contaminants sont rejetés directement à l'extérieur.

    Un chauffage performant

    Que la maison soit chauffée à l'électricité, au gaz naturel ou au mazout, Novoclimat favorise l'installation d'appareils efficaces offrant un maximum de confort. Seuls des équipements performants sont acceptés.

    Des portes et fenêtres plus étanches et efficaces

    Novoclimat ne permet que l'utilisation de portes et fenêtres à haut rendement énergétique, plus étanches et efficaces, fabriquées selon les plus récentes normes.

    Des professionnels formés et accrédités

    Seuls les constructeurs et les installateurs spécialement formés peuvent recevoir l'accréditation Novoclimat.

    Une inspection gratuite

    Toutes les maisons sont systématiquement inspectées pour vérifier le respect des exigences et normes Novoclimat. L'inspection est gratuite et elle est effectuée par un spécialiste indépendant et accrédité par l'Agence.

    Un essai d'infiltrométrie fiable

    En plus d'une inspection visuelle de l'habitation, un essai d'infiltrométrie confirme la qualité de l'étanchéité de la maison aux infiltrations d'air ainsi que son rendement énergétique.

    Un certificat rassurant

    Un certificat Novoclimat vous est remis lorsque vous prenez possession de votre maison. Il atteste qu'elle a été inspectée et qu'elle est conforme aux exigences du concept Novoclimat

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    2006-04-05

    Choc foncier à l'horizon pour les Montréalais

    Le prochain rôle triennal d'évaluation foncière de la Ville de Montréal reflétera l'évolution de la valeur des propriétés entre le 1er juillet 2002 et le 1er juillet 2005. Le nouveau rôle sera déposé entre la mi-août et la mi-septembre. Il comprendra les valeurs des propriétés des 15 villes défusionnées et de la Ville de Montréal. Les nouvelles valeurs s'appliqueront à compter du 1er janvier 2007.

    En 2003, le rôle de la Ville de Montréal a connu une hausse moyenne de 29%. La Ville de Montréal avait alors abaissé ses taux d'imposition d'un pourcentage équivalent. Il y avait quand même eu plusieurs hausses dans les arrondissements les plus touchés par l'effervescence immobilière. C'était le cas du Plateau-Mont-Royal, de Notre-Dame-de-Grâce et de plusieurs secteurs de l'Ouest-de-l'Île.

    Marché en hausse

    Entre 2002 et 2005, le marché immobilier a été aussi actif que durant la période précédente (1999 à 2002). Selon des données fournies par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), le prix de vente moyen d'une maison unifamiliale à Montréal est passé de 228 550$ en 2002 à 314 714$ en 2005.

    La Ville de Montréal se base sur les transactions immobilières pour déterminer la nouvelle valeur des propriétés. Les fonctionnaires étudient des unités de voisinage composées d'habitations du même type et fixent un pourcentage d'augmentation pour chaque groupe.

    Prix de vente moyen des propriétés sur l'île de Montréal

    année Maison unifamiliale Condo Multifamiliale
    Prix Var (%) Prix Var (%) Prix Var (%)
    2005 314 714 $ 4% 319 327 $ 5% 303 322 $ 9%
    2004 302 859 $ 12% 208 209 $ 10% 277 392 $ 16%
    2003 269 213 $ 18% 188 842 $ 19% 238 183 $ 24%
    2002 228 550 $ 17% 159 007 $ 20% 191 461 $ 14%

    (source: La Presse- 4 avril 2006)

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    2006-03-27

    Combien l'achat d'une maison va-t-il réellement me coûter?

    Lorsque vous aurez établi le prix approximatif que vous pouvez vous permettre de payer et le type de prêt hypothécaire que vous pouvez obtenir, vous devrez calculer tous les frais liés à la transaction pour vous assurer que vous êtes prêt financièrement.

    Frais initiaux

    Il vous faudra prévoir à l'avance les nombreux frais initiaux liés à l'achat d'une propriété. Il importe d'établir un échéancier pour vous aider à faire en sorte que tout se passe bien.

    • Droit de demande et prime d'assurance prêt hypothécaire. Si vous contractez un prêt hypothécaire à rapport prêt-valeur élevé (mise de fonds inférieure à 25 %), vous devrez peut-être souscrire une assurance prêt hypothécaire. Pour ce faire, vous devrez peut-être payer le droit de demande exigé. Votre prêteur pourra ajouter le montant de la prime d'assurance prêt hypothécaire à votre emprunt ou vous demander de la régler intégralement le jour du tranfert de la propriété.
    • Frais d'évaluation. Le prêteur hypothécaire peut exiger une évaluation de la propriété, à vos frais. Une évaluation est une estimation de la valeur de la propriété. Elle coûte habituellement de 250 $ à 350 $, et ces frais doivent être payés au moment où vous engagez un évaluateur.
    • Acompte. L'acompte fait partie de la mise de fonds et doit être versé lorsque vous faites une offre d'achat. Le montant de l'acompte varie selon l'endroit, mais il peut atteindre au maximum 5 % du prix d'achat. Si vous désirez verser une mise de fonds de 5 % et si vous donnez un acompte correspondant à 5 % du prix de la propriété, cet acompte tiendra lieu de mise de fonds.
    • Mise de fonds. Habituellement, une somme correspondant au moins à 5 % du prix d'achat est exigée si vous contractez un prêt hypothécaire à rapport prêt valeur élevé et au moins à 25 %, si vous demandez un prêt hypothécaire ordinaire.
    • Coût du certificat de préclusion (hors Québec). Ce certificat est exigé si vous faites l'acquisition d'une copropriété. Il peut coûter 100 $ ou moins.
    • Frais d'inspection. N'oubliez pas que votre offre d'achat peut être conditionnelle aux résultats de l'inspection. Le rapport d'inspection décrit l'état de la propriété et, selon la complexité de l'inspection, il peut coûter plus de 200 $. Par exemple, les frais d'inspection peuvent être plus élevés s'il s'agit d'une grande maison, d'une maison dispendieuse ou d'une maison où l'on soupçonne la présence de contaminants, comme la pyrite, le radon ou l'urée-formaldéhyde.
    • Frais d'inscription sur le registre foncier (parfois appelé droit de mutation immobilière, frais de publication des actes ou taxe relative à l'achat d'une propriété). Dans certaines provinces, il vous faudra peut-être payer ces frais provinciaux ou municipaux lors de la prise de possession de la propriété. Ces frais peuvent varier. Ils correspondent à un pourcentage du prix d'achat de la propriété. Demandez à votre notaire ou à votre avocat quels sont les tarifs actuels.
    • Impôt foncier et/ou services publics payés à l'avance. Vous devez rembourser au vendeur les frais déjà encourus, comme l'impôt foncier, le mazout, etc.
    • Assurance-habitation. Le prêteur hypothécaire exige ce genre d'assurance parce que la propriété est donnée en garantie. Le montant de cette assurance couvre les frais de reconstruction de votre maison et son contenu. L'assurance-habitation doit être en vigueur le jour du transfert de la propriété.
    • Coût du certificat de localisation (ou levé). Le prêteur hypothécaire peut exiger un certificat de localisation ou un levé à jour avant d'autoriser le versement du prêt hypothécaire. Si le vendeur n'a pas ce document en sa possession et s'il refuse d'en assumer le coût, vous devrez payer pour l'obtenir. Le certificat de localisation ou le levé peut coûter de 1 000 $ à 2 000 $.
    • Inspection de la qualité de l'eau. Si l'eau provient d'un puit, vous voudrez vérifier si elle est potable et si la réserve est suffisante. Vous pouvez négocier le paiement des frais avec le vendeur et les indiquer dans votre offre d'achat.
    • Frais juridiques et débours. Ces frais sont exigibles au moment de la prise de possession et se chiffrent à 500 $ au minimum (plus la TPS/TVQ). Votre notaire ou votre avocat vous facturera également des frais directs pour la vérification du statut légal de la propriété.
    • Assurance-titres. Votre prêteur, votre notaire ou votre avocat peut vous suggérer de souscrire une assurance-titres afin de vous protéger contre les vices dans la confection du titre de propriété.

    Si vous pensez que vous ne pourrez pas payer tous les frais initiaux, vous pouvez demander à votre prêteur de vous accorder un prêt. N'oubliez pas que les paiements relatifs à cet emprunt, qui doit être remboursé sur une période de 12 mois, seront pris en compte lors du calcul de votre rapport d'amortissement total de la dette.

    Autres dépenses

    Outre les frais initiaux, il se peut que vous ayez d'autres dépenses à envisager :

    • Appareils électroménagers. Le cas échéant, vérifiez quels sont les appareils qui demeureront dans la maison.
    • Outils de jardinage
    • Matériel de déneigement
    • Habillage des fenêtres. Vérifiez ce qui demeurera dans la maison.
    • Matériel de décoration. Peinture, papier peint, revêtement de sol et outils nécessaires à la décoration.
    • Outils à main. Vous aurez besoin de quelques outils de base.
    • Déshumidificateur. Un tel appareil peut être nécessaire pour réduire le niveau d'humidité, spécialement dans les vieilles maisons.
    • Déménagement
    • Rénovations ou réparations
    • Branchements. Frais exigés pour le branchement des services publics. Il vous faudra peut-être verser un acompte pour les services publics, comme le téléphone et le chauffage.
    • Charges de copropriété. Il se peut que vous deviez effectuer le paiement initial de ces frais mensuels.

    Utilisez le tableau intitulé Estimation des coûts inhérents à l'achat d'une maison pour déterminer le coût d'achat de votre propriété.

    (source: SCHL)

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    2006-03-09

    Les maisons se vendent moins vite.

    Après avoir connu une période effervescente où les maisons changeaient de mains en sept semaines, le marché immobilier montréalais perd un peu de vigueur. Maintenant, il faut compter en moyenne deux mois et demi pour vendre une propriété. «Il y a moins de pression sur les acheteurs depuis quelques mois, remarque Michel Beauséjour, président de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Ils n'achètent plus si la propriété ne correspond pas tout à fait à leurs besoins. Depuis un an, on constate un meilleur équilibre entre l'offre et la demande.»

    Même s'il est passé de 54 à 74 jours depuis 2003, le délai moyen des ventes à Montréal reste encore bas. En 2000, il fallait compter environ trois mois pour vendre sa maison dans l'île.

    «Voilà qui est plus normal, explique M. Beauséjour. Les dernières années étaient exceptionnelles, et ceux qui mettent leur maison en vente ces jours-ci devront être plus patients.»

    Le président de la CIGM ajoute que pour mettre toutes les chances de son côté, le mois de mars est une excellente période pour planter une pancarte devant sa maison. Les premiers acheteurs qui souhaitent emménager pour le 1er juillet sont nombreux au printemps.

    (source: Isabelle Audet-LaPresse)

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    2006-02-21

    Devenir propriétaire, est-ce un bon choix pour moi?

    Même si vous avez probablement une foule de bonnes raisons de vouloir acquérir une propriété, vous devez aussi tenir compte des raisons pour lesquelles vous n'en avez pas envie. Souvenez-vous que l'achat d'une maison est l'une des décisions les plus importantes de votre vie, tant sur le plan affectif que financier. Alors, préparez-vous à prendre une décision éclairée. Même si l'achat d'une maison semble presque toujours une excellente idée, vous devez comprendre ce que l'accession à la propriété signifie avant de prendre des décisions. Bien entendu, être propriétaire est un statut dont on peut être fier, mais cela veut également dire consacrer argent, temps et efforts à ce projet et assumer des responsabilités accrues. Par conséquent, avant de décider d'acheter une maison, assurez-vous d'être prêt. Pour la plupart d'entre nous, lorsque nous envisageons de devenir propriétaires, nous pensons immédiatement que ce serait formidable. C'est vrai que l'on peut vouloir acheter une maison pour toutes sortes de bonnes raisons. Voici certains des principaux avantages de l'accession à la propriété :

  • Sécurité financière. Si le prix des habitations augmente, la vôtre peut vous procurer une certaine sécurité financière en raison de la plus-value en capital.

  • Flexibilité. Vous pouvez décorer ou rénover votre maison selon les goûts et les besoins de votre famille.

  • Stabilité. Vous êtes chez vous.

  • Même si c'est agréable de penser aux aspects positifs de l'accession à la propriété, il ne faut pas en oublier les inconvénients. Voici certains des principaux désavantages de posséder une maison :

  • Stress financier. Vous aurez besoin de beaucoup d'argent pour verser la mise de fonds, effectuer régulièrement les versements hypothécaires et payer les autres dépenses courantes, et cela vous causera peut-être un stress financier considérable.

  • Entretien. Il faut du temps et de l'argent pour maintenir sa maison en bon état.

  • Coûts supplémentaires. Il vous en coûtera peut-être plus chaque mois pour votre maison que lorsque vous étiez locataire. Vous devrez en outre payer l'entretien et l'impôt foncier.

  • Responsabilités accrues. Vous devrez effectuer seul les paiements, les réparations et l'entretien.

    Maintenant que vous avez une idée de ce à quoi vous attendre, il n'en reste qu'à vous de déterminer si l'accession à la propriété vous convient. Bonne réflexion. (source: SCHL)

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    2006-02-13

    En quoi consiste l'assurance prêt hypothécaire?

    L'assurance prêt hypothécaire de la SCHL protège votre prêteur contre le risque de subir une perte financière si vous manquez à vos obligations hypothécaires et, en retour, elle vous facilite l'accès au crédit hypothécaire et vous permet d'obtenir le taux d'intérêt le plus concurrentiel. Tout comme pour les autres types d'assurance, il y a une prime à payer. Cette prime est fondée sur le rapport entre le montant du prêt hypothécaire et le prix d'achat ou la valeur de la propriété. Elle peut varier de 0,65 % à 2,75 %. Il ne faut pas confondre l'assurance prêt hypothécaire et l'assurance-vie prêt hypothécaire, qui garantit que votre succession n'aura pas à rembourser le solde de votre prêt hypothécaire au moment de votre décès.

    Quelles sont les modalités générales qui s'appliquent à l'assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants?

    La propriété doit être située au Canada. Vous devez verser une mise de fonds correspondant au moins à 5 % du prix d'achat de la propriété, selon le type de bâtiment : Maison individuelle et immeuble (5 % au minimum comprenant deux logements), immeuble de trois ou quatre logements (10 % au minimum). Normalement, vous devez puiser dans vos propres ressources pour verser la mise de fonds nécessaire. Toutefois, dans le cas des immeubles de un à quatre logements, la mise de fonds peut provenir d'un cadeau fait par un proche parent. De plus, dans le cadre de l'assurance prêt hypothécaire SCHL avec mise de fonds multisource, les emprunteurs admissibles peuvent utiliser d'autres sources de fonds, comme les incitatifs accordés par le prêteur ou un emprunt. Vérifiez auprès de votre prêteur s'il offre ce type de produit et quels sont les critères d'admissibilité. Le prêteur doit être agréé par la SCHL. Les frais de logement mensuels [remboursement du principal, intérêts, taxes, frais de chauffage (PITC)], le loyer annuel du terrain, s'il s'agit d'une propriété située sur un terrain loué, ainsi que la moitié des charges de copropriété ne devraient pas dépasser 32 % du revenu brut de votre ménage [rapport d'amortissement brut de la dette (ABD)]. Utilisez la formule de calcul du rapport ABD pour déterminer le montant des frais de logement que vous pouvez vous permettre de payer. Vos dettes totales ne devraient pas dépasser 40 % du revenu brut de votre ménage [le rapport d'amortissement total de la dette (ATD) correspond à la somme de votre PITC + la moitié des charges de copropriété (le cas échéant) + les paiements relatifs aux autres dettes, divisée par le revenu annuel brut de votre ménage]. Additionnez vos dépenses et déterminez le rapport d'amortissement total de la dette, à l'aide de la formule de calcul du rapport ATD. Vous devez également penser aux frais de clôture (par exemple, les frais juridiques et le droit de mutation immobilière) qui peuvent représenter de 1,5 % à 4 % du prix d'achat. De nombreux accédants à la propriété sont surpris de ces frais. Alors, quand viendra le temps de demander une assurance prêt hypothécaire, le tableau des frais ponctuels préparé par la SCHL vous aidera à calculer toutes les dépenses ponctuelles liées à l'achat d'une habitation ainsi que les dépenses mensuelles courantes. Les frais de clôture comprennent, entre autres, les frais ponctuels tels que les frais juridiques, la TPS et la TVP (le cas échéant), le droit de mutation immobilière (le cas échéant), les rajustements, etc., lesquels permettent de conclure l'achat de la propriété visée. D'autres exigences peuvent s'appliquer et sont sujettes à changement. Pour obtenir des détails à ce sujet, communiquez avec votre prêteur ou avec votre courtier en prêts hypothécaires. (source: SCHL)

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    2006-02-02

    Record dans la vente de maison

    Selon une étude de l'ACI (association Canadienne de l'immeuble), le marché de la revente au Canada a établi un record annuel, l'an dernier, et pour la 5 ième année consécutive avec une hausse de près de 5% sur le sommet de 2004. Le nombre de maison à vendre est qu'en à lui aussi en hausse de 4.6%, ce qui pourrait faire baisser les prix des maisons sous peu étant donnée une offre plus grande mais selon plusieurs, on croit plutôt à une hausse de 5%. La valeur des ventes a aussi augmentée en 2005 à 120.5 milliards, soit une hausse de 15.5%. Cette année, le nombre de transaction résidentielles devrait baisser de 5.4% au Canada.

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    2006-01-23

    Mettez votre maison en valeur !

    Une fois mise en vente, votre maison doit séduire, au premier coup d'oeil, les éventuels acheteurs. En effet, il faut savoir que l'achat se décide dans les 90 premières secondes d'une visite. S'il y a de la malpropreté, les acheteurs s'entourent d'une bulle négative et poursuivent leur visite en ne s'attardant qu'aux défaults de la maison. Sachant cela, assurez vous que votre maison séduise au premier coup d'oeil les éventuels achateurs. Sinon, vous risquerez d'en retarder la vente, ou pire, de perdre de l'argent en la cédant à un prix inférieur à sa valeur marchande.

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    2006-01-09

    Faites le ménage !

    Afin de mettre les chances de votre côté lors de visites d'acheteurs potentiels, assurez-vous de ne pas laisser d'objets sur le sol et ranger, au mieux du possible, votre maison. Jetez, jetez et jetez encore. S'il le faut, louez un entrepôt de facon à ranger même le mobilier qui encombrerait les pièces de votre maison et qui feraient en sorte de penser que les pièces sont plus petites qu'elles le sont rééllements. La règle d'or est de ranger 30% des objets ailleur (au sous-sol, dans des boites ou chez un ami...). Déplacez les meubles afin de créer une nouvelle atmosphère, remplacez les vieux tapis et assurez vous que les visiteurs voient bien toutes les espaces de travail et comptoir de votre cuisine. Donnez une allure de spa à votre salle de bain en achetant de petites serviettes que vous roulerez et mettrez près du bain et/ou lavabo. Finanlement, vous pourriez aussi aller jusqu'à repeindre les murs de votre maison dans des teintes neutres. Ceci apprtera de la lumière et n'agresse personnes l ors des visites (en plus de vous éviter de les laver...).

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    2006-01-16

    Dépersonnalisez votre maison

    Désencombrer est une règle d'or quand vient le temps de vendre votre maison. En effet, il est prouvé que si vous enlevez les choses qui semblent trop intimes aux gens qui visiteront votre maison, vous aurez plus de facilité à vendre votre maison et vendrez celle-ci plus rapidement et à un prix de vente plus élevé. Enlevez les babioles sur les tables d'appoints, les livres en trop dans la bibliothèque (auurez-vous plutôt d'avoir que des livres qui sont de même couleurs et dimension). Libérez les fenêtres en enlevant des plantes de facon à faire respirer les visiteurs et entrer la lumière dans vos pièces. L'objectif est de faire disparaitre tous les articles qui pourraient distraire les acheteurs et visiteurs et de s'assurer qu'il ne retiennent que l'essentiel de votre maison. Il n'est pas opportun de visiter une maison lorsque celle-ci est pleine de babioles qui rappelles le profil de vie des propriétaires actuels.

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