2008-12-10
Chute des ventes résidentielles à MontréalMontréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisé contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, le marché montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier. (source: Olivier Bourque, La Presse) 2008-12-10
Foyer sans cheminéeLes foyers au gel prennent doucement leur essor au Québec, offrant une option écologique à ceux qui n'ont pas de cheminée ou qui doivent condamner des installations non sécuritaires. La compagnie américaine Gel Flame propose plusieurs modèles de foyers, avec manteau comme les vrais, et d'autres, plus petits, à poser sur un meuble. Les prix oscillent entre 159$ et 1299$. Le combustible, de l'alcool isopropylique épaissi, additionné de sel de mer pour produire un crépitement, brûle sans polluer et demande moins de manipulations que le foyer au bois ou celui à l'éthanol. «Aux États-Unis, il rencontre les normes de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et de l'Agence de la santé et de la sécurité au travail (OSHA), affirme Liliana Zarlenga, de chez Gel Flame à Montréal. Au Canada, on est en processus pour obtenir l'Écologo.» Les foyers à manteau, portables et pesant moins de 100 livres, peuvent émettre 3000 BTUs pendant trois heures, de quoi garder une petite pièce au chaud. Salon de montre dans Montréal-Nord. (source: Carole Thibaudeau, La Presse) 2008-08-08
Les maisons montréalaises seraient surévaluéesEst-ce que le marché de l’immobilier montréalais aurait atteint son plafond? Le prix des maisons de la région métropolitaine est surévalué de plus de 10%, selon une étude de Merrill Lynch Canada, qui prévoit aussi une stagnation des prix au Canada. Sans offrir de précisions sur la direction des prix dans chacun des marchés, l’étude laisse entendre que les marchés où la surévaluation est la plus aiguë sont ceux où le risque de baisse de prix est le plus grand. La surévaluation à Montréal est bien moins forte que dans l’Ouest du pays, mais elle laisse tout de même la métropole au-dessus de la moyenne canadienne d’un peu moins de 10%, selon les données de Merrill Lynch. Selon les auteurs David Wolf et Carolyn Kwan, «si un marché est surévalué, nous devrions voir une augmentation de l’offre relativement à la demande – plus de gens veulent vendre que de gens veulent acheter». Mais que les propriétaires de tous les coins du pays se rassurent: Merrill Lynch ne prévoit pas d’effondrement de prix comme celui qu’ont vécu les Américains. «Le Canada n’a pas partagé les excès du crédit qui ont été la base des crises ailleurs», écrivent les deux économistes. Même si, selon Merrill Lynch, Montréal serait plus susceptible de connaître une baisse de prix en raison de la surévaluation, ce n’est vraiment pas dans la boule de cristal des spécialistes interrogés par La Presse Affaires. Selon le chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), Michel Beauséjour, la surévaluation est un phénomène qui «n’existe absolument pas à Montréal». «La vraie valeur, c’est le prix négocié, explique M. Beauséjour. Et le prix de vente à Montréal continue à augmenter de 3 à 5%. C’est le test ultime.» «Aux États-Unis, les maisons sont effectivement surévaluées et il y a une diminution du prix de vente de mois en mois», illustre Michel Beauséjour. Et on ne voit pas cela à Montréal. «Pour évaluer le risque de baisse de prix, il faut regarder si la demande est encore au rendez-vous», dit Hélène Bégin, économiste principale chez Desjardins. «Le marché s’essouffle un peu, mais on est loin d’être en surplus de maisons à vendre. Nous sommes encore à cinq vendeurs par acheteur, alors que l’équilibre est entre huit et 10.» Il est vrai que le marché montréalais tend vers cet équilibre, et tant la CIGM que la Société canadienne d’hypothèque et de logement s’attendent à une baisse du nombre de transactions. Mais les deux organismes prévoient en même temps des hausses de prix d’autour de 4% pour 2008 et 2009. «Peut-être que les prix sont légèrement surévalués, mais il n’y a aucun risque de baisse de prix à Montréal», soutient Hélène Bégin. Jusqu’à maintenant, le marché québécois de l’immobilier neuf ou usagé fait bande à part par rapport aux autres provinces. Mercredi, Statistique Canada annonçait que la valeur des permis de bâtir du secteur résidentiel avait reculé de 4,4% au Canada en juin. Par opposition, le Québec affiche une hausse de 3,8% et la métropole, un faible recul de 1,1%. Et si le nombre de ventes de la première moitié de l’année a baissé de plus de 13% au Canada, selon l’Association canadienne de l’immeuble, la région de Montréal a connu une hausse globale de 1%. Surévaluation extrême dans l’Ouest ’est élevé, mais encore loin du score de 78% enregistré à Miami en 2006, un peu avant l’effondrement du marché américain. Au Québec, on enregistre une surévaluation d’un peu moins de 5% dans la capitale, et une évaluation à peu près juste dans la région d’Ottawa-Hull. Le modèle de Merrill Lynch pour l’évaluation des marchés est basé principalement sur le concept d’abordabilité et tient compte du prix des maisons, du revenu moyen et des conditions de prêts. La firme ajuste ses résultats en fonction des particularités de chaque marché. (source: Hugo Fontaine, LaPresse) 2008-08-08
La fin des hypothèques à la bonne franquetteEffet direct de la crise du crédit, les Canadiens doivent recommencer à épargner pour s’acheter une maison. Et bonne chance aux mauvais payeurs! Les prêteurs hypothécaires ont resserré leurs conditions de crédit. «Même si ce n’est pas dramatique au Canada, l’accès au crédit est plus difficile», confirme Mathieu D’Anjou, économiste principal chez Desjardins. Il est vrai que la Banque du Canada a été forcée de réduire son taux directeur à cause du ralentissement économique. Mais les emprunteurs n’en ont pas profité. Les taux hypothécaires sont aussi élevés que l’année dernière. Les primes de risque sur le marché obligataire, c’est-à-dire l’écart de taux entre un prêt totalement sécuritaire et un prêt plus risqué, se sont élargies. «Les coûts de financement des banques ont augmenté. Ça s’est répercuté partout, sur tous les prêts», explique M. D’Anjou. À la mi-juillet, Ottawa a aussi serré la vis du marché hypothécaire, pour éviter un cauchemar comme aux États-Unis. Désormais, il faut une mise de fonds d’au moins 5% de la valeur de la maison pour obtenir une hypothèque assurée par le gouvernement (SCHL). Depuis 2006, il était possible d’acheter une maison 100% à crédit. En outre, les acheteurs doivent faire leur deuil des prêts amortis sur 40 ans, afin de réduire les mensualités au minimum. Ottawa a ramené la limite à 35 ans. La plupart des banques se sont déjà adaptées, même si les mesures fédérales n’entrent en vigueur qu’en octobre. «Ces produits commençaient à être très populaires auprès des premiers acheteurs», souligne Lorraine Trudeau, directrice du centre de prêts chez le courtier hypothécaire Multi-Prêts. Avec l’augmentation du prix des maisons, il était plus difficile d’amasser une mise de fonds suffisante. Ceux qui n’avaient pas assez d’économies se disaient: «Pourquoi attendre trois ans? Pendant ce temps-là, les prix vont encore monter», ajoute Mme Trudeau. Maintenant, les ménages devront patienter, épargner… et être plus raisonnables. Les banques deviennent plus frileuses face aux surendettés. Pour déterminer la valeur maximale d’une hypothèque, les banques utilisent toutes le même ratio: l’endettement total de l’emprunteur (remboursement de toutes les dettes, versements hypothécaires, chauffage, taxes, assurances, etc.) ne doit pas excéder 40% de son revenu brut (avant impôt). Certaines banques avaient étiré cette limite jusqu’à 44% pour les emprunteurs qui avaient un bon dossier de crédit. Elles font maintenant marche arrière. Mais ce sont surtout les mauvais payeurs qui frapperont un mur. Plusieurs prêteurs alternatifs, comme GMAC, GE Money et Xceed, qui offraient des hypothèques à risque (subprimes), ont carrément fermé leurs portes au Québec. Ceux qui restent en affaires sont devenus beaucoup plus sévères. Les programmes qui permettaient à des travailleurs autonomes d’obtenir une hypothèque sans fournir de preuve de revenu, sont en voie de disparition. Même chose pour ceux qui donnaient la chance de s’acheter une maison six mois à peine après avoir été libérés d’une faillite. «Maintenant, il faut attendre au moins deux ans et rebâtir son crédit», dit Mme Trudeau. L’univers du prêt de dernier recours a fondu. (source: Stéphanie Grammond, LaPresse) 2008-04-09
Montréal compte maintenant davantage de propriétaires que de locatairesPour la première fois, il y a davantage de ménages propriétaires que de ménages locataires dans la région métropolitaine de recensement de Montréal. Statistique Canada a publié les données sur la famille, les ménages et les logements du recensement de 2006. On y apprend que, dans la région métropolitaine de Montréal, 53 % des ménages privés sont propriétaires de leur logement. Lors du recensement de 2001, propriétaires et locataires étaient nez à nez, représentant chacun 50 % des ménages. Le nombre de propriétaires dans la région de Montréal a donc augmenté de façon considérable entre 2001 et 2006. Entre ces deux recensements, on a observé une augmentation de près de 103 000 ménages propriétaires. Pendant ce temps, le nombre de locataires n’a cru que de quelque 5 500 ménages. Ces statistiques reflètent bien l’engouement des acheteurs sur le marché immobilier résidentiel au cours des dernières années. De toute évidence, les Montréalais souhaitent de plus en plus posséder leur logement. En 1971, seulement 34 % des ménages de la région de Montréal étaient propriétaires. Cette proportion est passée à 44 % en 1986 et 53 % en 2006 (voir tableau 1). La croissance des revenus est le principal facteur qui explique cette progression. Cette tendance de fond va assurément se poursuivre. Non seulement il y a tout lieu de croire que le niveau de vie des Montréalais est appelé à augmenter davantage, mais deux autres éléments fondamentaux favoriseront la hausse des taux de propriétaires. Premièrement, la pyramide d’âge. La propension à être propriétaire tend à augmenter avec l’âge (jusqu’à l’âge de 65 ans), et bien sûr, notre population vieillit. Deuxièmement, la popularité grandissante de la formule « copropriété ». Il ne faut pas oublier que ce mode de propriété demeure relativement récent. Permise depuis 1969, la copropriété n’a pris véritablement son envol qu’à la fin des années 80. Aujourd’hui, on en compte plus de 100 000 dans la région de Montréal??. L’émergence de la copropriété a joué un rôle important, car son caractère plus abordable a permis à plusieurs ménages d’accéder à la propriété dans des quartiers centraux. Aujourd’hui, cette formule est de mieux en mieux comprise et acceptée de la part des consommateurs. Comme le prix des propriétés a considérablement augmenté depuis quelques années, le condo s’étend graduellement aux banlieues, offrant ainsi à des ménages qui n’en auraient pas eu les moyens autrement, la possibilité de devenir propriétaires. (source: CIGM et statistiques Canada) 2008-01-15
Immobilier: Montréal reste un marché de vendeursMoribond dans une bonne partie des États-Unis, le marché immobilier reste en pleine santé dans la grande région de Montréal.Selon les statistiques de la Chambre immobilière du Grand Montréal, qui se basent sur les transactions effectuées sur son système MLS, utilisé par les courtiers, la croissance des ventes a été de 11% en 2007, soit la plus forte hausse en cinq ans. «Cette augmentation du nombre de transactions, combinée à un inventaire de propriétés à vendre comparable à 2006, a contribué à maintenir un marché à l'avantage des vendeurs en 2007», indique Michel Beauséjour, directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal. «En conséquence, les hausses de prix sont demeurées soutenues, atteignant en moyenne 5 à 7 % selon le genre de propriété, c'est-à-dire de deux à trois fois le niveau de l'inflation.» Depuis 1998, le prix des propriétés a doublé dans la grande région de Montréal, stimulé par la création d'emplois, la confiance des consommateurs, de même que des taux d'intérêt historiquement bas. Toutes les régions faisant partie du Grand Montréal ont profité de cette croissance, la région de Lanaudière se démarquant avec des hausses de 13% du prix des propriétés entre 2006 et 2007. Favorisé par des évolutions démographiques qui voient les baby-boomers délaisser progressivement la maison de banlieue pour une copropriété, à laquelle ils ajoutent souvent une maison de campagne, le condo est l'unité immobilière la plus en vogue dans le grand Montréal, avec une hausse du nombre de ventes de 20% à Montréal, de 24% en Montérégie et de 28% dans Lanaudière. Encore une bonne année en 2008 Michel Beauséjour s'attend encore à une bonne année en 2008 pour le marché immobilier montréalais : « Les taux d'intérêt, la création d'emplois et la confiance des consommateurs devraient continuer à pointer dans la bonne direction cette année, quoique peut-être un peu moins fortement qu'en 2007. » «Il faudrait vraiment une récession sévère aux Etats-Unis pour ébranler l'économie canadienne, qui devrait sortir indemne d'un ralentissement économique moins important au sud de la frontière». Selon lui, s'il y a eu un rattrapage certain depuis 10 ans dans le prix des résidences dans le Grand Montréal, il reste toutefois encore de l'espace pour des augmentations annuelles dépassant le niveau de l'inflation, Montréal restant un des grands marchés immobiliers les plus abordables en Amérique du Nord. (source: Jean-François Cloutier - LaPresseAffaires.com) 2008-01-02
Comment déneiger le toitSi vous en avez déjà marre de pelleter la neige sur votre terrain, nous n'êtes malheureusement pas au bout de vos peines. Il y a de fortes chances pour qu'il soit maintenant temps de vous attaquer au toit...«Ce n'est pas encore très alarmant parce que la neige n'est pas très pesante, parce que ça ne fait pas longtemps qu'elle est là, et qu'elle n'a pas eu le temps de réduire et il n'y a pas eu de pluie. Mais quand il va mouiller, c'est sûr qu'on risque d'avoir des toits écrasés cette année», expliquait Éric Castonguay-Ouellet, propriétaire de BOC Déneigement de toitures, lorsque Le Soleil l'a contacté en début de semaine. De la pluie verglaçante est d'ailleurs prévue pour demain. Selon Marc Bélanger, propriétaire de l'entreprise Escouade des neiges, ce ne sont pas toutes les résidences privées qui exigent un déneigement immédiat, car il faut prendre en considération la pente du toit. Mais dès qu'on atteint 60 cm (deux pieds) de neige, il faut agir. Selon les données de la Régie du bâtiment, un toit plat est généralement construit pour supporter un maximum de 17 cm de glace, de 38 cm de neige durcie ou 70 cm de neige fraîche. «L'objectif, c'est d'enlever de la surcharge, de dégager les ventilateurs de toit et les évents de plomberie», résume André Gagné, directeur du Service de l'expertise technique de l'APCHQ (Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec). Si les évents de plomberie sont bouchés, il pourrait se dégager une odeur d'égout dans la maison. C'est un bon indicateur qu'il faut déneiger. Idem si les portes commencent à frotter, à fermer difficilement. «Là, ça commence à être dangereux, la structure commence à être affectée», remarque M. Castonguay-Ouellet. M. Bélanger indique que le déneigement permet de compenser les possibles faiblesses du toit (qui pourraient se traduire en infiltrations d'eau) et limite les risques que la neige dévale et tombe sur la tête de passants. Il a tellement neigé cette année que déjà, les entreprises de déneigement des toitures sont débordées (voir autre texte). Selon les estimations de M. Bélanger, déneiger le toit d'un bungalow coûte entre 119 $ et 189 $. Son entreprise facture à l'heure; le coût total dépend donc de la quantité et du type de neige à enlever (légère, mouillée, glace). Si vous comptez réaliser l'exercice vous-même, voici quelques conseils de pros.
(source: Anne Drolet | Le Soleil) 2007-09-14
L'immobillier en péril au Québec ?Habitation: la Banque Scotia parle de risque d'une éventuelle baisse des prixLes prix des habitations au Canada pourraient à nouveau baisser même si les données de base du marché de l'habitation sont encore très bonnes, estime la Banque Scotia. Dans le document intitulé "Perspectives du secteur immobilier", publié jeudi, Etudes économiques Scotia indique que ce risque provient de "la persistance de conditions d'offre et de demande serrées" qui a porté les évaluations réelles des habitations au-dessus de leur tendance à long terme. Les auteurs du rapport soutiennent qu'il ne fait pratiquement aucun doute que les tendances actuelles ne pourront pas se maintenir. "Le chômage est faible, l'immigration est forte et les taux d'inoccupation des appartements sont peu élevés, a affirmé Adrienne Warren, économiste principale, Etudes économiques Scotia, soulignant qu'il y a peu de données qui font croire à un excédent de mises en chantier ou à un cycle spéculatif. "Le secteur est aussi très peu directement exposé aux prêts à risque. En effet, ce genre de prêts ne représentait qu'environ 5 pour cent des hypothèques au Canada au cours des dernières années, comparativement à quelque 20 pour cent aux Etats-Unis." Mme Warren a expliqué en outre que dans une perspective à long terme de plus en plus de données indiquent qu'il y a surévaluation du prix des maisons dans certaines parties du pays, signe avant-coureur d'une conjoncture à la baisse. Elle a ajouté que plus le prix des maisons excède les données économiques de base sous-jacentes, plus le risque d'une éventuelle correction est grand. "Dans les 15 villes étudiées pour la rédaction de ce rapport, les prix actuels, rajustés en fonction de l'inflation, sont supérieurs à leur tendance à long terme, à l'exception de St. John's (T.-N.-L.). Au milieu de l'année, l'écart moyen national était d'environ 8 pour cent. Toutefois, on constate d'importantes variations régionales: l'écart est de 1 pour cent à Ottawa alors qu'il est de 25 pour cent à Edmonton." Les sommets de 1976 et de 1989 sur le marché de l'habitation ont été tous deux suivis d'un certain rajustement des prix réels. En 1976, les prix des maisons au pays dépassaient de 12 pour cent leur tendance à long terme, alors qu'en 1989, l'écart était de 18 pour cent. (source: La Presse Canadienne | Yahoo Inc.) 2007-03-18
L'évaluation de la valeur marchande de votre maisonDes prix à la pièce pour votre maisonChaque maison est unique. Même dans un quartier où toutes les maisons ont été construites de la même façon. Elles ont toutes leur propre histoire, leurs caractéristiques particulières: une verrière, un foyer, une piscine creusée, un garage double. Combien valent tous ces extras? Depuis quelques semaines, Youppy.com dispose d'un outil qui permet de découper votre maison en morceaux. L'Évaluation EVal est un système expert qui repose sur un algorithme unique. Il est ajusté tous les jours pour inclure les nouvelles transactions dans l'équation. Pour y parvenir, le système compare des maisons très semblables. Ensuite, le système «recompose» la valeur marchande globale de la maison, à partir de la valeur de toutes ses composantes. Tout dépend du quartier Une mise en garde Des facteurs négatifs Prenez note que tous les clients de Youppy.com peuvent recevoir leur évaluation "EVal" de juste valeur marchande en contactant leur représentant. 2007-02-19
Les 10 règles d'or de la copropriétéUn cauchemar d'organisation, la copropriété? Pas si tous les membres connaissent leurs droits... et leurs obligations. Voici ce qu'en pense un expert. «Le pire, c'est de vouloir faire les choses à la bonne franquette. C'est souvent dans ces cas-là que les problèmes surviennent», prévient Yves Joli-Coeur, avocat spécialisé en droit immobilier. Avant d'acheter, mieux vaut être informé. En collaboration avec Mon toit, l'avocat a relevé 10 contraintes et soucis qui touchent la majorité des copropriétaires. Les futurs acheteurs sauront ainsi à quoi s'en tenir. Déjà copropriétaires? À vos conventions... prêts? Réconciliez-vous!
1- Animaux 2- Dégâts 3- Frais de condo 4- Fonds de prévoyance 5- Bruit 6- Entretien 7- Copropriétaire récalcitrant 8- Plancher 9- Assurances 10- Parties communes 2006-11-20
Hausse record de la valeur des maisons et condos à LavalLa forte spéculation immobilière frappe de plein fouet la Ville de Laval où la valeur des propriétés bondit de près de 40% dans le nouveau rôle triennal d'évaluation foncière. Les Lavallois encaisseront la plus forte hausse de l'histoire de cette municipalité. Les terrains vacants connaissent la plus forte augmentation, soit 73,8%. «Les terrains se font de plus en plus rares et il y a une forte demande. Laval connaît une effervescence phénoménale de la construction résidentielle», observe Ernest Lépine, directeur du service d'évaluation. La valeur des propriétés du secteur résidentiel augmente en moyenne de 46,6%. À Laval, huit immeubles sur 10 se retrouvent dans cette catégorie. La valeur des maisons unifamiliales (1 logement) augmente de 45% en moyenne. Le nouveau rôle d'évaluation foncière a été déposé mercredi au comité exécutif de la Ville de Laval. Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, estime qu'il s'agit d'une «bonne nouvelle» pour les contribuables. Le maire soutient que les taux d'imposition seront abaissés afin d'amoindrir l'impact du nouveau rôle. La variation des valeurs à travers la ville amènera néanmoins certains propriétaires à payer davantage de taxes et d'autres à connaître un répit. Les propriétaires avec des hausses plus importantes que la moyenne se retrouveront avec une hausse de leur impôt foncier. Les contribuables avec des hausses moins fortes que la moyenne connaîtront pour la plupart des baisses de leur impôt foncier. Le maire Vaillancourt précise toutefois que les hausses de taxes moyennes seront en dessous de l'inflation dans le prochain budget. Le maire de Laval promet aussi d'étaler l'augmentation du rôle d'évaluation sur trois ans. M, Vaillancourt refuse d'emboîter le pas à Montréal qui souhaite étaler son rôle sur quatre ans. La valeur des bâtiments et des terrains à Laval atteindra en 2007 une valeur de 30,9 milliards de dollars. Il s'agit d'une hausse de huit milliards par rapport au rôle d'évaluation 2004-2005-2006. Le rôle précédent était déjà en hausse de 20% en moyenne. Le nouveau rôle s'appliquera jusqu'à la fin 2009 et il reflète la valeur des propriétés au 1er juillet 2005. Selon M. Lépine, Laval accueille depuis six ans pour environ 700 millions de dollars de nouvelles constructions. La tendance reste d'ailleurs à la hausse à Laval. Le directeur du service d'évaluation estime que la valeur des propriétés a progressé de 8 à 10% au cours de la dernière année. Les propriétaires peuvent déjà consulter la nouvelle évaluation de leur propriété sur le site Internet de la Ville de Laval. (source: Sébastien Rodrigue , La Presse, Montréal) 2006-11-01
Pour vous convaincre d'acheter une maison neuve, on vous offre des comptoirs en granit, une nouvelle voiture ou même un voyage... Complètement fou? Non!C'est le genre de primes que les promoteurs américains offrent aux consommateurs pour écouler leurs stocks de maisons sans avoir à sabrer leur prix de vente. Mais ça ne marche plus, comme le démontrent les statistiques dévoilées jeudi. En septembre, le prix médian des maisons neuves est tombé de 9,7% par rapport à l'année précédente. "C'est énorme ! On n'a pas vu ça depuis 36 ans ", dit Luc Fournier, gestionnaire de portefeuille à l'Industrielle-Alliance. Pour la même période, le prix des maisons existantes est en baisse de 2,4%, a-t-on appris plus tôt cette semaine. Au total, le marché immobilier vit son pire recul historique. De quoi garder les investisseurs sur le qui-vive. "Présentement, l'immobilier américain est la pierre angulaire de tout le monde et la nôtre aussi", dit M. Fournier. Pourquoi? Par sa taille, l'économie américaine influence toute sa planète. Et l'immobilier est le facteur qui a le plus stimulé le dernier cycle économique aux États-Unis. "Depuis 2002, l'immobilier a contribué à près de 40% de la création d'emplois aux États-Unis", rapporte M. Fournier. Des emplois dans la construction, mais aussi dans le courtage immobilier, dans le financement hypothécaire et toutes sortes de secteurs connexes... Si l'immobilier s'écrase, ces gens conserveront-ils leur gagne-pain? "Le ralentissement de l'immobilier est bien réel. Mais on n'a pas encore vu de pertes d'emplois. Cela créerait une deuxième onde de choc", estime M. Fournier. Mais pour cela, il faudrait que l'immobilier végète pendant une longue période. "C'est un peu comme l'essence. On va survivre si le prix monte à 1,50$ pendant une semaine. Mais si ça reste comme ça un an, c'est plus grave", illustre M. Fournier. Prenez un promoteur qui construit une tour d'habitation. Il ne s'arrêtera pas au milieu du chantier parce que les prix de vente baissent. Les ouvriers finiront le travail. Ce n'est que plus tard que leurs emplois seront en jeu. D'ici là, les investisseurs vivent au rythme des données économiques contradictoires, comme c'est souvent le cas en période de transition. Le repli de l'immobilier poussera-t-il les États-Unis en récession? Ou les Américains en seront-ils quittes pour un atterrissage en douceur de leur économie? Voilà le grand débat qui anime les marchés financiers. "Ces dernières années, les investisseurs qui ont bien réussi sont ceux qui avaient de fortes concentrations dans certains secteurs comme l'énergie. Maintenant, il vaut mieux être bien diversifié, estime M. Fournier. Il faut garder un pied dans les secteurs cycliques et un pied dans les secteurs défensifs." En cas de récession , la construction et les mines et métaux seront frappés. Mais ce sont des secteurs intéressants pour des investisseurs patients qui visent le long terme. Côté métaux, il y a un équilibre très sain entre l'offre et la demande. Côté construction, il ne faut pas oublier que toutes les maisons construites depuis sept ans auront besoin de rénovations au cours des 10 prochaines années. (source: Stéphanie Grammond , La Presse affaires, Montréal) 2006-09-29 La hausse des prix des maisons ralentit à MontréalBonne nouvelle pour ceux qui projettent de s'acheter une maison à Montréal: la hausse des prix continue de ralentir à Montréal, et la tendance devrait se poursuivre l'année prochaine. Plus de maisons sur le marché, moins d'acheteurs qui se les arrachent: " L'offre et la demande commencent à s'équilibrer ", note Gino Romanese, premier vice-président chez Services immobiliers Royal LePage. " Depuis trois ou quatre ans, on voyait des augmentations de 8 à 10 % par année sur le côté inférieur, et jusqu'à 15 ou 16 % sur le côté supérieur ", rappelle Gino Romanese, premier vice-président chez Services immobiliers Royal LePage. Fini, donc, le temps où " les agents d'immeubles et les acheteurs se plaignaient qu'ils n'avaient pas de choix et que les maisons partaient rapidement à des prix souvent supérieurs à ceux demandés ", dit M. Romanese. Ce ralentissement des hausses de prix s'explique à la fois par la hausse du nombre de maisons sur le marché et la baisse de la demande. Selon M. Romanese, il y a actuellement environ 12 % plus de propriétés à vendre sur le marché montréalais qu'au même moment l'année dernière. " Après plusieurs années d'augmentation de prix, les gens se disent que c'est peut-être le bon moment de vendre ", explique M. Romanese. Les baby-boomers dont les enfants ont quitté le nid familial se retrouvent maintenant avec de grandes maisons vides et se tournent vers les condos. Et toutes les maisons neuves que l'on s'est empressé de construire au cours des dernières années commencent à faire leur apparition sur le marché de la revente. Les acheteurs, de leur côté, font face à des taux d'intérêt un peu plus élevés qu'auparavant. Les évaluations foncières ont aussi considérablement augmenté à Montréal, ce qui a pu freiner leurs ardeurs. Et tout indique que plusieurs ont probablement songé à signer un bail plutôt qu'une hypothèque. " À Montréal, actuellement, les taux d'inoccupation sont à la hausse et les loyers à la baisse, et la location représente donc un choix attrayant pour certains acheteurs potentiels ", souligne Royal LePage dans son étude. Selon M. Romanese, l'augmentation du prix des maisons à Montréal continuera de ralentir l'année prochaine. Le marché montréalais, tout comme celui de l'ensemble du pays, continue toutefois d'être très vigoureux- un contraste avec ce qui se passe chez nos voisins du Sud, où les économistes craignent un effondrement du marché immobilier. Le nombre de maisons vendues avait brisé un record l'an dernier au pays, et selon l'Association canadienne de l'immeuble, nous voguons tout droit vers un nouveau record pour 2006. Sans surprise, c'est à Calgary et Edmonton que les hausses de prix ont été les plus élevées au cours du troisième trimestre. (source: Philippe Mercure, La Presse, Montréal) 2006-09-11 L'art à la rescousse des agents immobiliersL'art vient à la rescousse d'agents immobiliers inventifs qui, confrontés à un marché immobilier américain en forte baisse, tentent de séduire leur clientèle avec un tableau de maître au mur plutôt qu'un coup de peinture. Surtout sur la côte ouest des États-Unis mais aussi à New York, la mise en scène et décoration (staging) des maisons à vendre est devenue très en vogue, avec la location, de plus en plus fréquente, de tableaux d'artistes. Ils sont là pour embellir les lieux mais ne sont pas des cadeaux. Et ça marche, assure Jan Sewell, agent immobilier à Seattle et spécialiste de la décoration de maisons à vendre. «Combien de fois une maison restait sur le marché invendue et une fois que nous l'avions redécorée, nous recevions de multiples offres d'achat», explique-t-elle à l'AFP. Cette amatrice d'art travaille notamment avec la galerie de vente et de location de tableaux du Seattle Museum of Art. La galerie fait 20 % de son million de dollars de chiffre d'affaires en louant aux agents immobiliers la production d'artistes contemporains locaux, a indiqué une de ses responsables, Jodi Bento. Selon Jan Sewell, qui a en location une centaine d'oeuvres d'art actuellement en circulation sur les murs des maisons à vendre, la peinture d'un artiste va agir au niveau subliminal et inconscient et aider l'acheteur à tomber amoureux de la maison. «Les gens pensent qu'on doit être rationnel lorqu'on achète une maison, mais on ne l'est jamais», plaisante-t-elle. Même constatation pour Angela Di Bello, directrice de l'Agora Gallery à New York qui loue des tableaux aux agents immobiliers. «Lorsque vous entrez dans une pièce où il y a de l'art, l'espace se personnalise. Cela instille une sorte de passion et d'excitation dans l'esprit du visiteur», assure-t-elle. Cela aide à faire en sorte qu e les gens se sentent bien, affirme-t-elle. «Et lorsqu'ils se sentent bien, les gens disent oui. Quand ce n'est pas le cas, ils deviennent négatifs et disent non». La copropriété est constituée de deux composantes. La première est un ensemble de parties privatives nommées « logements ». Chaque logement est détenu par son acheteur et enregistré à son nom. La seconde est formée des parties communes de l'immeuble, comme le foyer, les couloirs, les ascenseurs, les aires récréatives, les allées, les jardins, etc., et peut également comprendre des éléments de structure et des systèmes mécaniques et électriques. La propriété des parties communes est partagée entre les propriétaires de chaque logement, comme le sont les coûts normaux de fonctionnement, d'entretien et de remplacement. Il faut toutefois trouver un équilibre et garder à l'esprit que le but principal est de vendre la maison, rappelle Jan Sewell. «On doit éviter que l'acheteur potentiel ne tombe trop sous le charme de l'oeuvre», car il arrive, ce n'est pas si rare, que le visiteur reparte avec la peinture plutôt que la maison. La plupart du temps, les agents immobiliers-scénographes choisissent ainsi de l'art abstrait contemporain, pour un prix équivalent environ à 3 % du coût total de l'oeuvre pour l'avoir à disposition pendant trois mois. Il est rare que le prix du tableau dépasse 20 000 dollars. Le prix de location s'échelonne ainsi entre 50 et 600 dollars et si cela se fait notamment pour les logements haut de gamme, l'idée s'inflitre de plus en plus aussi dans le bas de l'échelle, assure la directrice de la galerie new-yorkaise. La galerie Larsen à Scottsdale, dans la banlieue de Phoenix, loue parfois des paysages traditionnels. «Le style d'oeuvres est vraiment dicté par le mobilier, l'architecture de la maison. Nous les aidons à donner à leur logement une apparence du tonnerre», résume Scott Larsen, propriétaire de la galerie qui loue parfois des gravures de Dali. Avec le ralentissement du marché de l'immobilier, les agents se décarcassent pour innover, conclut Gopal Ahluwalia, auteur d'une étude pour l'association professionnelle National Association of Home Builders, qui montre que les promoteurs font feu de toutes les promotions pour vendre plus vite. Certains offrent des cheminées, du parquet en option, parfois une piscine, un voyage ou une voiture pour les maisons plus chères. En juillet aux États-Unis, les ventes de logements neufs ont accusé un recul de 4,3 % et de 4,1 % pour les reventes. (source: Virginie Montet, Agence France-Presse, Washington) 2006-09-05 Qu'est-ce qu'un logement en copropriété ?Les logements en copropriété offrent à l'acheteur un potentiel et diverses caractéristiques intéressantes telles que l'abordabilité et la simplicité d'entretien. Plusieurs d'entre eux sont équipés de dispositifs de sécurité plus complets que ceux des maisons individuelles. Certains ensembles de logements en copropriété sont des complexes entiers offrant toute une gamme d'activités sociales et récréatives. Avant l'achat, les futurs propriétaires doivent toutefois bien comprendre l'importance d'un certain nombre de facteurs liés à l'achat et au style de vie dans un logement en copropriété. Cette section présente certains faits dont la connaissance contribue à la réussite de l'expérience du logement en copropriété. Condo: les détails La « copropriété » renvoie à une forme de propriété et non à un type de bâtiment. Bien que l'on songe tout de suite à des immeubles résidentiels de grande hauteur, cette forme de propriété peut également s'appliquer à des ensembles de maisons en rangée, à des maisons isolées et à des immeubles résidentiels de faible hauteur. Ce mode de possession est connu sous le nom de « strata » en Colombie-Britannique et de syndicat de copropriété au Québec. La copropriété est constituée de deux composantes. La première est un ensemble de parties privatives nommées « logements ». Chaque logement est détenu par son acheteur et enregistré à son nom. La seconde est formée des parties communes de l'immeuble, comme le foyer, les couloirs, les ascenseurs, les aires récréatives, les allées, les jardins, etc., et peut également comprendre des éléments de structure et des systèmes mécaniques et électriques. La propriété des parties communes est partagée entre les propriétaires de chaque logement, comme le sont les coûts normaux de fonctionnement, d'entretien et de remplacement. Chaque propriétaire de logement détient un droit de propriété indivis sur les parties communes de l'immeuble. Ce droit est souvent désigné sous le nom de « quote-part de propriété ». La quote-part de propriété d'un logement est généralement proportionnelle à la valeur de ce logement par rapport à la valeur de tous les logements de l'association des copropriétaires. Cette quote-part sert d'ailleurs au calcul des frais mensuels d'entretien et de renouvellement des parties communes que vous devez payer. La création d'une copropriété est régie par la législation provinciale ou territoriale et par les règlements municipaux applicables. Il y a plusieurs manières de procéder. Dans certaines provinces, un promoteur, ou toute partie intéressée, peut déposer une déclaration de constitution de copropriété, alors que dans d'autres, une demande de titre doit être effectuée après approbation officielle des plans. L'exploitation d'une copropriété est également soumise à la loi provinciale ou territoriale et est assujettie à la déclaration et au règlement de la copropriété. Une fois l'association des copropriétaires établie, les copropriétaires procèdent à l'élection d'un conseil d'administration, généralement formé de copropriétaires, qui assumera la tâche d'administrer les affaires de l'association. Il y a généralement une assemblée de transfert des responsabilités. Chaque copropriétaire a droit de vote à ces assemblées, et le poids de son vote varie généralement en fonction de la valeur de la quote-part attribuée à son logement. 2006-07-01 Laval:Terre d'habitationLa construction résidentielle à Laval s'est maintenue à un niveau plus que respectable au cour de l'année 2005. Le territoire est le seul grand ensemble géographique ou l'on a pas observé de baisse notoire. Certes, les mises en chantierde maisons unifamiliales ont basissées de 42% ces six premiers mois par rapport au semestre 2004 de même que la copropriété à reculé de 17% sur la même période, mais les chiffres de la SCHL souligne que l'on y bâti 570 maisons unifamiliales et 540 logements locatifs de même que 3 grands projets de résidences de personnes agées. Économiquement Laval va très bien. La région s'enrichie, ce qui contribue à la santé du marché. Tout comme le marché de la construction, le marché de la revente de Laval vient d'entamer une baisse sommes toute relative de l'ordre de 8% au cour du premier semestre de l'année 2005. Cette basisse concerne tous les trypes d'habitations. Laval reste bien positionné par rapport aux autres régions et n,a pas atteint un seuil alarmant. A titre d'exemple, il se vend 70 condos neuf par mois. Si le marché de Laval plaide encore en faveur du vendeur, contrairement au marché de Montréal, il s'emblerait qu'un rééquilibrage entre l'offre et la demande est en train de s'opérer. Conséquence: même si certains vendeurs rêvent encore de réaliser une transaction lucrative, on voit de moins en moins de surenchères et sommes davantage dans un marché équilibré. Selon les chiffres de la SCHL, la croissance des prix de Laval pour une unifamiliale était de 13% au premier trimestre de l'année 2004 et de 14% pour le premier trimestre de l'année 2005. A titre d'indication, le prix moyen en 2004 d'une maison unifamiliale était de 187 487$. En comparaison, il était de 185 070$ pour la rive Sud de Montréal, 168 943$ sur la Rive-Nord de Laval et 302 859$ sur l'ïle de Montréal. Cette vigueur du marché Lavallois se matérialise dans quasiment tous les types d'habitation. Historiquement, la maison individuelle est reine sur ce territoire. Une prédominence qui ne se dément toujours pas puisque cela représente toujours près de 62% du bâti résidentiel dans l'ïle. La maison unifamiliale se vend extremement bien dans la construction neuve, dans tous les genres et tous les prix. Le condo se vend aussi très bien. 2006-06-01 Plus de 380 000 ménages dans cinq grands centres urbains ont l'intention d'acheter une habitation en 2006Plus de 380 000 ménages, soit en moyenne 8 % des ménages vivant à Halifax, Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver, sont prêts à acheter une habitation cette année. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les intentions d'achat ou de rénovation des consommateurs, diffusés par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Huit pour cent des ménages ont dit qu'ils feraient fort probablement l'acquisition d'un logement durant les douze prochains mois et pourraient être considérés comme « prêts à acheter », tandis que 5 % ont indiqué que les probabilités qu'ils en fassent autant sont de 50 %. L'Enquête est réalisée au moyen d'un échantillon d'environ 4 000 ménages par ville. « Dans les cinq principaux marchés ayant fait l'objet de l'Enquête, les intentions demeurent fortes, puisque 8 % des ménages interrogés disent envisager sérieusement d'acheter une habitation cette année », a déclaré Bob Dugan, économiste en chef à la SCHL. « La proportion de ménages ayant l'intention d'acheter s'est accrue par rapport à 2005, année où 5 % des ménages interrogés se disaient prêts à passer à l'action. Les fortes intentions exprimées cette année cadrent avec le nombre toujours élevé de mises en chantier d'habitations et de ventes de logements existants. La conjoncture économique favorable, caractérisée notamment par de bas taux hypothécaires et un marché du travail dynamique, contribue à soutenir les intentions d'acheter une habitation. » Les intentions d'achat les plus fortes ont été observées à Calgary et à Halifax, où 10 % des ménages se disent prêts à acquérir un logement. Les intentions sont fortes également à Vancouver et à Toronto, où 8 % des ménages sont prêts à passer à l'action, tandis qu'elles le sont un peu moins à Montréal (7 %). « Le secteur de la rénovation résidentielle restera vigoureux cette année, car 13 % des propriétaires d'habitation interrogés ont indiqué qu'ils sont prêts à entreprendre cette année des travaux de rénovation d'au moins 1 000 $ », d'ajouter M. Dugan. « La proportion de propriétaires songeant sérieusement à rénover a diminué par rapport à 2005, année où 17 % se disaient prêts à rénover. Malgré la baisse du pourcentage de propriétaires envisageant de tels travaux cette année, les sommes qui seront consacrées à la rénovation devraient augmenter. » Les plus fortes intentions de rénover ont été exprimées à Calgary et à Halifax, où la proportion de consommateurs prêts à rénover cette année était respectivement de 21 % et de 20 %. Les pourcentages sont moins élevés dans les autres villes : 14 % à Toronto, 13 % à Vancouver et 11 % à Montréal. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est l'organisme national responsable de l'habitation au
Canada, et ce depuis plus de 60 ans. La SCHL veille à ce que les Canadiens aient accès à un large éventail de logements de qualité, à coût abordable, et elle favorise la création de collectivités et de villes dynamiques et saines partout au pays. Pour en savoir davantage, veuillez composer le 1 800 668-2642.
2006-05-01 La technique du "Home staging": Pour vendre plus rapidement et à meilleur prix !La technique "stager" indique simplement de préparer votre maison à la vente nonobstant le prix ou la location. Il s'agit principalement de dépersonnaliser votre maison, de la présenter comme une maison modèle. Il vous faudra vous placez dans les yeux d'un acheteur. Faites comme si vous voyez pour la première fois votre maison. Toute les sommes investies pour préparer votre maison vous serons récupérées lors de la vente de celle-ci. "Home staging" - L'intérieur:Il vous faudra prévoir à l'avance les nombreux frais initiaux liés à l'achat d'une propriété. Il importe d'établir un échéancier pour vous aider à faire en sorte que tout se passe bien.
"Home staging" - L'extérieur:
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(source: La Presse- 4 avril 2006) 2006-03-27 Combien l'achat d'une maison va-t-il réellement me coûter?Lorsque vous aurez établi le prix approximatif que vous pouvez vous permettre de payer et le type de prêt hypothécaire que vous pouvez obtenir, vous devrez calculer tous les frais liés à la transaction pour vous assurer que vous êtes prêt financièrement. Frais initiauxIl vous faudra prévoir à l'avance les nombreux frais initiaux liés à l'achat d'une propriété. Il importe d'établir un échéancier pour vous aider à faire en sorte que tout se passe bien.
Si vous pensez que vous ne pourrez pas payer tous les frais initiaux, vous pouvez demander à votre prêteur de vous accorder un prêt. N'oubliez pas que les paiements relatifs à cet emprunt, qui doit être remboursé sur une période de 12 mois, seront pris en compte lors du calcul de votre rapport d'amortissement total de la dette. Autres dépensesOutre les frais initiaux, il se peut que vous ayez d'autres dépenses à envisager :
Utilisez le tableau intitulé Estimation des coûts inhérents à l'achat d'une maison pour déterminer le coût d'achat de votre propriété. (source: SCHL) 2006-03-09 Les maisons se vendent moins vite.Après avoir connu une période effervescente où les maisons changeaient de mains en sept semaines, le marché immobilier montréalais perd un peu de vigueur. Maintenant, il faut compter en moyenne deux mois et demi pour vendre une propriété. «Il y a moins de pression sur les acheteurs depuis quelques mois, remarque Michel Beauséjour, président de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Ils n'achètent plus si la propriété ne correspond pas tout à fait à leurs besoins. Depuis un an, on constate un meilleur équilibre entre l'offre et la demande.» Même s'il est passé de 54 à 74 jours depuis 2003, le délai moyen des ventes à Montréal reste encore bas. En 2000, il fallait compter environ trois mois pour vendre sa maison dans l'île. «Voilà qui est plus normal, explique M. Beauséjour. Les dernières années étaient exceptionnelles, et ceux qui mettent leur maison en vente ces jours-ci devront être plus patients.» Le président de la CIGM ajoute que pour mettre toutes les chances de son côté, le mois de mars est une excellente période pour planter une pancarte devant sa maison. Les premiers acheteurs qui souhaitent emménager pour le 1er juillet sont nombreux au printemps. (source: Isabelle Audet-LaPresse) 2006-02-21 Devenir propriétaire, est-ce un bon choix pour moi?Même si vous avez probablement une foule de bonnes raisons de vouloir acquérir une propriété, vous devez aussi tenir compte des raisons pour lesquelles vous n'en avez pas envie. Souvenez-vous que l'achat d'une maison est l'une des décisions les plus importantes de votre vie, tant sur le plan affectif que financier. Alors, préparez-vous à prendre une décision éclairée. Même si l'achat d'une maison semble presque toujours une excellente idée, vous devez comprendre ce que l'accession à la propriété signifie avant de prendre des décisions. Bien entendu, être propriétaire est un statut dont on peut être fier, mais cela veut également dire consacrer argent, temps et efforts à ce projet et assumer des responsabilités accrues. Par conséquent, avant de décider d'acheter une maison, assurez-vous d'être prêt. Pour la plupart d'entre nous, lorsque nous envisageons de devenir propriétaires, nous pensons immédiatement que ce serait formidable. C'est vrai que l'on peut vouloir acheter une maison pour toutes sortes de bonnes raisons. Voici certains des principaux avantages de l'accession à la propriété : Même si c'est agréable de penser aux aspects positifs de l'accession à la propriété, il ne faut pas en oublier les inconvénients. Voici certains des principaux désavantages de posséder une maison : Maintenant que vous avez une idée de ce à quoi vous attendre, il n'en reste qu'à vous de déterminer si l'accession à la propriété vous convient. Bonne réflexion. (source: SCHL) 2006-02-13 En quoi consiste l'assurance prêt hypothécaire?L'assurance prêt hypothécaire de la SCHL protège votre prêteur contre le risque de subir une perte financière si vous manquez à vos obligations hypothécaires et, en retour, elle vous facilite l'accès au crédit hypothécaire et vous permet d'obtenir le taux d'intérêt le plus concurrentiel. Tout comme pour les autres types d'assurance, il y a une prime à payer. Cette prime est fondée sur le rapport entre le montant du prêt hypothécaire et le prix d'achat ou la valeur de la propriété. Elle peut varier de 0,65 % à 2,75 %. Il ne faut pas confondre l'assurance prêt hypothécaire et l'assurance-vie prêt hypothécaire, qui garantit que votre succession n'aura pas à rembourser le solde de votre prêt hypothécaire au moment de votre décès.
2006-02-02 Record dans la vente de maisonSelon une étude de l'ACI (association Canadienne de l'immeuble), le marché de la revente au Canada a établi un record annuel, l'an dernier, et pour la 5 ième année consécutive avec une hausse de près de 5% sur le sommet de 2004. Le nombre de maison à vendre est qu'en à lui aussi en hausse de 4.6%, ce qui pourrait faire baisser les prix des maisons sous peu étant donnée une offre plus grande mais selon plusieurs, on croit plutôt à une hausse de 5%. La valeur des ventes a aussi augmentée en 2005 à 120.5 milliards, soit une hausse de 15.5%. Cette année, le nombre de transaction résidentielles devrait baisser de 5.4% au Canada. 2006-01-23 Mettez votre maison en valeur !Une fois mise en vente, votre maison doit séduire, au premier coup d'oeil, les éventuels acheteurs. En effet, il faut savoir que l'achat se décide dans les 90 premières secondes d'une visite. S'il y a de la malpropreté, les acheteurs s'entourent d'une bulle négative et poursuivent leur visite en ne s'attardant qu'aux défaults de la maison. Sachant cela, assurez vous que votre maison séduise au premier coup d'oeil les éventuels achateurs. Sinon, vous risquerez d'en retarder la vente, ou pire, de perdre de l'argent en la cédant à un prix inférieur à sa valeur marchande. 2006-01-09 Faites le ménage !Afin de mettre les chances de votre côté lors de visites d'acheteurs potentiels, assurez-vous de ne pas laisser d'objets sur le sol et ranger, au mieux du possible, votre maison. Jetez, jetez et jetez encore. S'il le faut, louez un entrepôt de facon à ranger même le mobilier qui encombrerait les pièces de votre maison et qui feraient en sorte de penser que les pièces sont plus petites qu'elles le sont rééllements. La règle d'or est de ranger 30% des objets ailleur (au sous-sol, dans des boites ou chez un ami...). Déplacez les meubles afin de créer une nouvelle atmosphère, remplacez les vieux tapis et assurez vous que les visiteurs voient bien toutes les espaces de travail et comptoir de votre cuisine. Donnez une allure de spa à votre salle de bain en achetant de petites serviettes que vous roulerez et mettrez près du bain et/ou lavabo. Finanlement, vous pourriez aussi aller jusqu'à repeindre les murs de votre maison dans des teintes neutres. Ceci apprtera de la lumière et n'agresse personnes l ors des visites (en plus de vous éviter de les laver...). 2006-01-16 Dépersonnalisez votre maisonDésencombrer est une règle d'or quand vient le temps de vendre votre maison. En effet, il est prouvé que si vous enlevez les choses qui semblent trop intimes aux gens qui visiteront votre maison, vous aurez plus de facilité à vendre votre maison et vendrez celle-ci plus rapidement et à un prix de vente plus élevé. Enlevez les babioles sur les tables d'appoints, les livres en trop dans la bibliothèque (auurez-vous plutôt d'avoir que des livres qui sont de même couleurs et dimension). Libérez les fenêtres en enlevant des plantes de facon à faire respirer les visiteurs et entrer la lumière dans vos pièces. L'objectif est de faire disparaitre tous les articles qui pourraient distraire les acheteurs et visiteurs et de s'assurer qu'il ne retiennent que l'essentiel de votre maison. Il n'est pas opportun de visiter une maison lorsque celle-ci est pleine de babioles qui rappelles le profil de vie des propriétaires actuels. |